samedi 26 août 2017

Le président national de la ligue des droits de l'Homme, Malik SALEMKOUR à Ajaccio les vendredi 25 et samedi 26 août.

Elu lors du dernier Congrès national de la LDH en mai dernier, Malik SALEMKOUR a voulu réserver son premier déplacement à la Corse.
Il aura un déjeuner de travail avec le président de l'Assemblée de Corse Jean-Guy TALAMONI. Il rencontrera un groupe de jeunes d'opinions diverses engagé-e-s dans la vie publique afin d'aborder avec eux la situation de la jeunesse corse. Une autre réunion de travail avec le bureau de la section de Corse de la LDH est également au programme de ce déplacement. 

Samedi 26 août à 10h30, le président national de la LDH tiendra une conférence de presse à Ajaccio.

mercredi 16 août 2017

La LDH Corsica aux côtés de l'Associu Sulidarità ce mercredi 16 août à 18h30.

La section a participé à la conférence de presse organisée devant la Préfecture
Elle est intervenue sur la nécessité du rapprochement de l'ensemble des prisonniers politiques, sur les dangers du Fijait et de la loi antiterroriste en préparation. Elle s'est également exprimée sur la situation particulière de Dumé Tafani.


Corse-Matin 17/08



mercredi 2 août 2017

Lettre ouverte de Sampiero Sanguinetti à Antoine Albertini et au supplément Magazine du journal Le Monde.

 - Sampiero Sanguinetti est membre du bureau de la LDH Corsica -
 "Mon cher Antoine.
Je viens de lire l’article que tu as publié dans le supplément Magazine du journal Le Monde le 8 juillet 2017*. Entre témoignage de journaliste et témoignage personnel, ce que tu écris est sans doute la vérité d’un citoyen et la vérité d’un homme. Un point de vue qui trouve sa force dans l’exposé des aveux. Point final. Or pourtant, j’ai ressenti en te lisant un profond malaise. Non pas parce que j’aurais découvert une réalité qui m’aurait échappé, et non pas parce qu’il serait, comme tu le dis, trop tard pour réagir en ce qui concerne notre génération. Non, tout simplement par ce que je ne me reconnais pas dans tes aveux. Originaire de la même île que toi et y vivant comme toi, j’ai le sentiment que nous ne parlons pas de la même chose. C’est dommageable car nous sommes peu nombreux. Nous sommes l’une des régions les moins peuplées d’Europe.  De qui et de quoi parle-t-on si nous n’avons pas un minimum de références en commun ?

vendredi 28 juillet 2017

Auddé, dà u 2 à u 7 aostu - A CORSICA E I DONNI

Prugrammu - Voir le Site d'Aullène

Corse-Matin 27/07 :

Elsa Renaut, présidente de la section, participera à la table ronde "Les femmes et le mouvement associatif", jeudi 3 août à 17h.

mardi 25 juillet 2017

Lorsque le président E. MACRON confond dangereusement antisémitisme et antisionisme - Lire la tribune de Michel TUBIANA

Mediapart – 20 juillet 2017

Michel Tubiana, président d’honneur de la LDH

Les points communs entre ces quatre personnes n’ont rien d’évident. C’est plutôt au croisement de plusieurs actualités que se situe l’intérêt de leur rapprochement : la position de la France dans le conflit israélo-palestinien, les postures autoritaires et antisémites d’Orban, le talon de fer que subissent les Palestiniens et un financier international qui a initié une ONG qui appuie les luttes pour la démocratie et contre les discriminations. Et, au-delà de ces événements factuels, ce sont les signifiants qu’ils véhiculent qui font sens.

Les faits sont connus. Le président de la République française juge bon d’inviter B. Netanyahou à la commémoration du Vél’d’Hiv au cours de laquelle il mélange, au grand plaisir de son invité, antisionisme et antisémitisme. Orban tente de fermer l’Université libre initiée par Soros (et dans laquelle il avait étudié…) et s’en prend à ce dernier dans une forme si manifestement antisémite que cela fait réagir la communauté juive de Hongrie, laquelle, initialement soutenue par l’ambassade d’Israël dans ce pays, est ensuite désavouée par Netanyahou qui ne voit dans Soros que celui qui soutient les ONG israéliennes opposées à sa politique.

De cela on peut tirer quelques enseignements.

lundi 10 juillet 2017

Extrait de Corse-Matin du 9 juillet à propos de Nicolas Bessone, 
Procureur de la République de Bastia, qui quittera ses fonctions en Corse fin août.
Des interrogations de la LDH citées :


samedi 8 juillet 2017

Cunsulta Ginirali di Parlemu Corsu : presenza è sustegnu di a LDH Corsica

A l'invitation de Parlemu Corsu, des membres de la section étaient présents à l'assemblée générale di u cullittivu.
Nous avons tenu à apporter un soutien financier au collectif dont nous saluons l'action en faveur de la langue corse pour une société bilingue.

En mémoire de Savannah - Pour la dignité des femmes - Conférence de presse à Eccica Suarella aux côtés de la maman de Savannah




"Le 1er mai 2016, Savannah Torrenti mourait sous les coups de son ex-compagnon.
Nous sommes aujourd’hui près de l’école du village où Savannah a grandi. La présence de la LDH aux côtés de sa maman est d’abord un hommage à la mémoire de sa fille, jeune femme lumineuse de 23 ans victime de violences insoutenables.
Notre prise de parole s’inscrit dans un combat contre les violences faites aux femmes, dans un combat pour leur dignité et leurs droits. 
Alors que ces jours derniers, nous avons été nombreux à honorer Simone Veil et ses engagements victorieux pour les droits des femmes, l’égalité entre les femmes et les hommes n’est pas acquise. Tous les trois jours une femme meurt victime des violences de son partenaire ou ex partenaire. Ce sont plus de 120 femmes qui meurent chaque année. Une récente enquête publiée fin juin dans la presse nationale parle d’un « meurtre de masse » en étudiant les situations de 220 femmes tuées en France entre 2015 et 2016.
La génération de Simone Veil et des femmes qui l’ont accompagnée a remporté des victoires essentielles : celles d’énoncer les droits des femmes et de les inscrire dans des textes internationaux (Dudh de 1948, la Cedaw, Convention d’Istanbul en 2011) et nationaux.
La jeune génération, celle de Savannah, est exposée aux dangers de croire ces droits acquis alors qu’ils sont fragiles. Et ils le resteront tant que les préjugés de la domination masculine seront transmis, même inconsciemment. Tant que des femmes seront victimes de la violence d’hommes, ces droits n’existeront pas. Femmes et hommes seront malheureux tant qu’ils ne vivront pas l’égalité.
La question des violences faites aux femmes ne relève pas de faits divers. C’est une question politique qui concerne l’ensemble de la société. Nous le savons, leur prévention passe par l’information, la prise de conscience, l’éducation. 
Il faut aussi aider les victimes avant qu’il ne soit trop tard. Les violences physiques ne surgissent pas de rien. Il faut apprendre à refuser toutes formes de violences verbales ou psychologiques.

Nous voudrions que la mémoire de Savannah aide à cette prise de conscience. C’est pourquoi la LDH soutient le projet de sa maman dont le témoignage au travers de l’association « Savannah » permet de ne pas oublier, pour ne pas accepter les violences faites aux femmes et les atteintes à leur dignité."

France 3 Corse Via Stella - Corsica Sera

Corse-Matin dimanche 9 :