La déclaration de Frédérique Vidal, ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation sur l'islamophobie suscite une vague de protestations dans le monde universitaire.
- Communiqué de la LDH EHESS - Diffamation à l’encontre d’une profession toute entière ? La Ministre doit partir.
Publié le 16/02/2021 par L'équipe des rédacteurs d'Academia
Malgré leur habitude des faux-semblants
et du peu d’attention portée à leur profession, les enseignants-chercheurs et
enseignantes-chercheures sont confronté.es aujourd’hui à une
campagne de dénigrement sans précédent, désignant en particulier par le terme
aussi infâmant qu’imprécis « d’islamo-gauchisme » des établissements
ou des disciplines dans leur entier.
Il serait attendu d’une ministre qu’elle
prenne quelque hauteur dans ce débat de plus en plus nauséabond, et qu’elle
refuse de reprendre à son compte des notions aussi peu scientifiquement
fondées. On attendrait que la responsable de l’enseignement supérieur et de la
recherche, elle-même issue de ce milieu, relève avec gratitude la façon
dont les enseignant.es universitaires ont en première ligne fait
face à la détresse étudiante en cette période de pandémie ; ils n’ont
pas démérité en tant que pédagogues, allant même au-delà dans
leur rôle d’accompagnement d’étudiant.es par ailleurs largement oubliés.
Mais, plutôt que de s’intéresser à la
crise qui les touche, Mme Frédérique Vidal, sur les ondes d’une chaîne
télévisuelle dont un des animateurs a été condamné pour injure et provocation à
la haine, répond par l’affirmative lorsque M. Elkabbach décrit les universités
françaises, dont elle a la charge, comme étant régies par une sorte d’alliance
entre Mao Tsé-Toung et l’ayatollah Khomeini.
Et elle enchaîne le lendemain en
demandant à l’Alliance Athena (qui n’est pas une inspection mais une
institution qui coordonne les sciences sociales) « d’enquêter » sur
l’islamo-gauchisme et ses « courants » dans le milieu académique.
Une accusation typique de
l’extrême-droite est ainsi reprise une nouvelle fois par une ministre de la
République, rassemblant dans une formule ignominieuse un groupe fantasmatique
et fantasmé de pseudo-adversaires qui ne sont, en réalité jamais nommés, ou au
prix d’approximations grossières amalgamant des concepts mal compris et de noms
de collègues ne partageant parfois que peu de choses (si ce n’est les menaces
parfois graves que ces accusations font tout à coup tomber sur eux).
Bref, à ces accusations mensongères
faisant courir des risques parfois graves à des fonctionnaires, leur ministre
ne trouve à répondre que par de vagues admonestations décousues (selon
lesquelles, par exemple, en tant que biologiste elle peut dire que « la race »
n’existe pas), et par la réitération des accusations portées à leur encontre.
Plus encore, elle en appelle à une sorte de police par et dans les institutions
d’enseignement et de recherche, rejoignant de la sorte les interdictions de
certaines thématiques (les études sur le genre) dans les universités
hongroises, brésiliennes ou roumaines
Elle se fait ainsi complice de faits de
diffamation collective à l’encontre d’une profession toute entière, mais aussi
d’une dévalorisation accrue des universités. Elle parvient ainsi, au-delà de
ces dégâts dans l’opinion qui ne peuvent qu’accroître le désespoir des
étudiantes et des étudiants dont les formations sont ainsi décrites, à
confirmer sa décrédibilisation personnelle aux yeux des personnels de l’ESR.
Un appel à la démission de Frédérique
Vidal avait été porté en novembre 2020 par
la CP-CNU, représentant l’ensemble des disciplines, après le vote de la loi
LPR.
Plus que jamais, au regard de ces
nouvelles dérives dans un contexte de difficultés sans précédent pour l’université
et la recherche, sa démission s’impose, tout comme l’abandon de cette prétendue
« enquête » non seulement nauséabonde mais déshonorante au
regard des difficultés sans précédent dans lesquelles se débat l’ESR.
Oui, danger, vigilance et action mais à l’encontre de la Ministre.
Qu’aucun.e collègue, quel que soit son statut, ne prête main forte à cette campagne de dénonciation.
- Lire le communiqué de la conférence des présidents d'université *:
16 février 2021
Interrogée sur CNews, la ministre de
l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation a annoncé qu’elle
allait demander « notamment
au CNRS » de faire une enquête sur « l’ensemble
des courants de recherche » à
propos de « l’islamo-gauchisme » à l’université, « de
manière à ce qu’on puisse distinguer ce qui relève de la recherche académique
et ce qui relève du militantisme et de l’opinion ».
La CPU
fait part de sa stupeur face à une nouvelle polémique stérile sur le sujet de
l’« islamo-gauchisme » à l’université. « L’islamo-gauchisme » n’est pas un concept. C’est une pseudo-notion dont
on chercherait en vain un commencement de définition scientifique, et qu’il
conviendrait de laisser, sinon aux animateurs de Cnews, plus largement, à
l’extrême droite qui l’a popularisé. Utiliser leurs mots, c’est faire le lit
des traditionnels procureurs prompts à condamner par principe les
universitaires et les universités.
Comme l’avait justement rappelé dans une
tribune le 26 octobre dernier la ministre de l’enseignement supérieur, de la
recherche et de l’innovation, « l’université
n’est ni la matrice de l’extrémisme, ni un lieu où l’on confondrait
émancipation et endoctrinement. L’université n’est pas un lieu d’encouragement
ou d’expression du fanatisme, » mais « le lieu où s’apprennent le doute
comme la modération ainsi que la seule de nos institutions capable d’éclairer
l’ensemble de la société, de l’école aux médias, par une connaissance
scientifiquement établie, discutée et critiquée collégialement. » Rien ne saurait justifier un changement de discours à ce sujet.
La CPU
regrette donc la confusion entre
ce qui relève de la liberté académique, la liberté de recherche dont
l’évaluation par les pairs est garante, et ce qui relève d’éventuelles fautes
ou d’infractions, qui font l’objet si nécessaire d’enquêtes administratives
(par l’Inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche), ou
d’enquêtes pénales. La CPU s’étonne ainsi de
l’instrumentalisation du CNRS dont les missions ne sont en
aucun cas de produire des évaluations du travail des enseignants-chercheurs, ou
encore d’éclaircir ce qui relève « du
militantisme ou de l’opinion ». La CPU
réclame, au minimum, des clarifications urgentes, tant sur les fondements
idéologiques d’une telle enquête, que sur la forme, qui oppose CNRS et
universités alors que la recherche est menée conjointement sur nos campus par
les chercheurs et les enseignants-chercheurs.
La CPU appelle à élever le débat. Si le
gouvernement a besoin d’analyses, de contradictions, de discours scientifiques
étayés pour l’aider à sortir des représentations caricaturales et des arguties
de café du commerce, les universités se tiennent à sa disposition. Le débat
politique n’est par principe pas un débat scientifique : il ne doit pas pour
autant conduire à raconter n’importe quoi.
* La Conférence des présidents d’université (CPU) est une association Loi de 1901 qui rassemble les dirigeants exécutifs des universités et établissements d’enseignement supérieur et de recherche afin de porter la voix et les valeurs des universités dans le débat public. Elle comprend actuellement une centaine de membres votant (présidents d’université, directeurs d’écoles normales supérieures, d’INP, d’INSA, administrateurs généraux) mais également des membres associés.
- Lire le communiqué du CNRS : L’« islamogauchisme » n’est pas une réalité scientifique
17 février 2021
INSTITUTIONNEL
« L’islamogauchisme », slogan politique
utilisé dans le débat public, ne correspond à aucune réalité scientifique. Ce
terme aux contours mal définis, fait l’objet de nombreuses prises de positions
publiques, tribunes ou pétitions, souvent passionnées. Le CNRS condamne avec fermeté
celles et ceux qui tentent d’en profiter pour remettre en cause la liberté
académique, indispensable à la démarche scientifique et à l’avancée des
connaissances, ou stigmatiser certaines communautés scientifiques. Le CNRS
condamne, en particulier, les tentatives de délégitimation de différents champs
de la recherche, comme les études postcoloniales, les études intersectionnelles
ou les travaux sur le terme de « race », ou tout autre champ de la
connaissance.
Concernant les
questions sociales, le rôle du CNRS, et plus généralement de la recherche
publique, est d’apporter un éclairage scientifique, une expertise collective,
s’appuyant sur les résultats de recherches fondamentales, pour permettre à
chacun et chacune de se faire une opinion ou de prendre une décision. Cet
éclairage doit faire état d’éventuelles controverses scientifiques car elles
sont utiles et permettent de progresser, lorsqu’elles sont conduites dans un
esprit ouvert et respectueux.
La polémique actuelle
autour de l’ « islamogauchisme », et l’exploitation politique qui en est faite,
est emblématique d’une regrettable instrumentalisation de la science. Elle
n’est ni la première ni la dernière, elle concerne bien des secteurs au-delà
des sciences humaines et des sciences sociales. Or, il y a des voies pour
avancer autrement, au fil de l’approfondissement des recherches, de
l’explicitation des méthodologies et de la mise à disposition des résultats de
recherche. C’est là aussi la mission du CNRS.
C’est dans cet esprit que le CNRS pourra participer à la production de l’étude souhaitée par la Ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation visant à apporter un éclairage scientifique sur les champs de recherche concernés. Ce travail s’inscrirait dans la continuité de travaux d’expertise déjà menés sur le modèle du rapport « Recherches sur les radicalisations, les formes de violence qui en résultent et la manière dont les sociétés les préviennent et s’en protègent » réalisé en 2016 par l’alliance Athena, qui regroupe l’ensemble des forces académiques en sciences humaines et sociales dans les universités, les écoles et les organismes de recherche, ou du rapport « Les sciences humaines et sociales face à la première vague de la pandémie de Covid-19 – Enjeux et formes de la recherche », réalisé par le CNRS en 2020.
- Article du New York Times
Heating Up Culture Wars,
France to Scour Universities for Ideas That ‘Corrupt Society’
By Norimitsu Onishi and Constant Méheut Feb. 18, 2021
PARIS —
Stepping up its attacks on social science theories that it says threaten
France, the French government announced this week that it would launch an
investigation into academic research that it says feeds “Islamo-leftist’’
tendencies that “corrupt society.’’
News of the
investigation immediately caused a fierce backlash among university presidents
and scholars, deepening fears of a crackdown on academic freedom — especially
on studies of race, gender, post-colonial studies and other fields that the
French government says have been imported from American
universities and
contribute to undermining French society.
While
President Emmanuel Macron and some of his top ministers have spoken out
forcefully against what they see as a destabilizing influence from American
campuses in recent months, the announcement marked the first time that the
government has moved to take action.
It came as
France’s lower house of Parliament passed a draft law against Islamism, an ideology it
views as encouraging terrorist attacks, and as Mr. Macron tilts further to the
right, anticipating nationalist challenges ahead of elections next year.
Frédérique
Vidal, the minister of higher education, said in Parliament on Tuesday that the
state-run National Center for
Scientific Research would
oversee an investigation into the “totality of research underway in our
country,’’ singling out post-colonialism.
In an
earlier television interview, Ms. Vidal said the investigation would focus on
“Islamo-leftism’’ — a controversial term embraced by some of Mr. Macron’s
leading ministers to accuse left-leaning intellectuals of justifying Islamism
and even terrorism.
“Islamo-leftism
corrupts all of society and universities are not impervious,’’ Ms. Vidal said,
adding that some scholars were advancing “radical” and “activist” ideas.
Referring also to scholars of race and gender, Ms. Vidal accused them of
“always looking at everything through the prism of their will to divide, to
fracture, to pinpoint the enemy.’’
France has
since early last century defined itself as a secular state devoted to the ideal
that all of its citizens are the same under the law, to the extent that the
government keeps no statistics on ethnicity and religion.
Pétition : Vidal
démission !
Tribune publiée par Le Monde le 20 février 2021.
Premier·es signataires ci-dessous. Vous
pouvez signer sur WeSign.it
Le mardi 16 février, à l’Assemblée nationale, la ministre de l’enseignement
supérieur, de la recherche et de l’innovation, Frédérique Vidal confirmait ce
qu’elle avait annoncé deux jours plus tôt sur la chaîne Cnews : le lancement
d’une « enquête » sur l’ « islamogauchisme » et le
postcolonialisme à l’université, enquête qu’elle déclarait vouloir confier au
CNRS à travers l’Alliance Athéna. Les raisons invoquées : protéger
« des » universitaires se disant « empêchés par d’autres de
mener leurs recherches », séparer « ce qui relève de la recherche
académique de ce qui relève du militantisme et de l’opinion » ainsi que …
« l’apparition au Capitole d’un drapeau confédéré ».
Si le propos manque de cohérence, l’intention est dévastatrice : il s’agit
de diffamer une profession et, au-delà, toute une communauté, à laquelle, en
tant qu’universitaire, Frédérique Vidal appartient pourtant et qu’il lui
appartient, en tant que ministre, de protéger. L’attaque ne se limite
d’ailleurs pas à disqualifier puisqu’elle fait planer la menace d’une
répression intellectuelle, et, comme dans la Hongrie d’Orban, le Brésil de
Bolsonaro ou la Pologne de Duda, les études postcoloniales et décoloniales, les
travaux portant sur les discriminations raciales, les études de genre et
l’intersectionnalité sont précisément ciblés.
Chercheur·es au CNRS, enseignant·es chercheur·es titulaires ou précaires,
personnels d’appui et de soutien à la recherche (ITA, BIATSS), docteur·es et
doctorant·es des universités, nous ne pouvons que déplorer l’indigence de
Frédérique Vidal, ânonnant le répertoire de l’extrêmedroite sur un «
islamo-gauchisme » imaginaire, déjà invoqué
en octobre 2020 par le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer. Mais, plus encore, nous nous insurgeons contre l’indignité de ce qu’il
faut bien qualifier de chasse aux sorcières. La violence du projet redouble la
lâcheté d’une ministre restée silencieuse sur la détresse des étudiant·es
pendant la pandémie comme elle avait été sourde à nos interpellations sur une
LPR massivement rejetée par tout·es celles et ceux qui font la recherche, y
contribuent à un titre ou un autre.
La crise économique et sociale la plus grave depuis 1945 assombrit l’avenir
des jeunes adultes, l’anxiété face à la pandémie fissure la solidarité entre
les générations, la pauvreté étudiante éclate aux yeux de tous·tes comme une
question sociale majeure, les universités – lieux de vie et de savoirs – sont
fermées. Mais pour Frédérique Vidal, le problème urgent de l’enseignement
supérieur et de la recherche, celui qui nécessite de diligenter une
« enquête » et d’inquiéter les chercheur·es, c’est la
« gangrène » de l’ « islamo-gauchisme » et du
postcolonialisme.
Amalgamant un slogan politique douteux et un champ de recherche
internationalement reconnu, elle regrette l’impossibilité de « débats
contradictoires ». Pourtant, et nous espérons que la ministre le sait, nos
universités et nos laboratoires déploient de multiples instances collectives de
production et de validation de la connaissance : c’est bien dans l’espace
international du débat entre pair·es que la science s’élabore, dans les revues
scientifiques, dans les colloques et les séminaires ouverts à tous·tes. Et ce
sont les échos de ces débats publics qui résonnent dans nos amphithéâtres,
comme dans les laboratoires.
Contrairement à ce qu’affirme Frédérique Vidal, les universitaires, les
chercheur·es et les personnels d’appui et de soutien à la recherche n’empêchent
pas leurs pair.es de faire leurs recherches. Ce qui entrave notre travail,
c’est l’insincérité de la LPR, c’est le sous-financement chronique de nos universités,
le manque de recrutements pérennes, la pauvreté endémique de nos laboratoires,
le mépris des gouvernements successifs pour nos activités d’enseignement, de
recherche et d’appui et de soutien à la recherche, leur déconsidération pour
des étudiant·es ; c’est l’irresponsabilité de notre ministre. Les conséquences
de cet abandon devraient lui faire honte : signe parmi d’autres, mais
particulièrement blessant, en janvier dernier, l’Institut Pasteur a dû
abandonner son principal projet de vaccin.
Notre ministre se saisit du thème complotiste
« islamo-gauchisme » et nous désigne coupables de pourrir
l’université. Elle veut diligenter une enquête, menace de nous diviser et de
nous punir, veut faire régner le soupçon et la peur, et bafouer nos libertés
académiques. Nous estimons une telle ministre indigne de nous représenter et
nous demandons, avec force, sa démission.
Vous pouvez signer la pétition ici.
Premier·es signataires
1. Nassim Aboudrar,
esthétique, Université Paris 3
2. Pierre Emmanuel
Berche, physicien, Université de Rouen
3. Clara Biermann,
ethnomusicologue, Université Paris 8
4. Michel Bozon,
sociologue, INED
5. Eve Caroli,
économiste, Université Paris Dauphine
6. Eric Fassin,
sociologue, Université Paris 8
7. Julien Gossa,
informaticien, Université de Strasbourg
8. Soraya Guenifi, études
nord-américaines, Université Paris 1
9. Nahema Hanafi,
historienne, Angers
10. Hugo Harari-Kermadec,
économiste, Université Paris-Saclay
11. Caroline Ibos,
politiste, Université de Rennes 2
12. Chantal Keller,
informaticienne, Université Paris-Saclay
13. Mathilde Larrère,
historienne, Université Paris-Est Marne-La-Vallée
14. Sandra Laugier,
philosophe, Université Paris 1
15. Kevin Le Tétour, BIATSS,
Université Rennes 1
16. Dominique Méda,
sociologue, Université Paris-Dauphine PSL
17. Gilles Martinet,
géographe, Université Paris-Est Créteil
18. Julie Pagis,
sociologue, CNRS
19. Anthony Pecqueux,
sociologue, CNRS
20. Thomas Piketty,
économiste, EHESS
21. Christelle Rabier, historienne,
EHESS
22. Maud Simonet,
sociologue, CNRS
23. Richard Walter,
ingénieur de recherche
24. Fanny Gallot,
historienne, Université Paris-Est Créteil
25. Ève Chiapello,
directrice d’études en sociologie, EHESS
26. Jacques Haiech,
biotechnologie, Université de Strasbourg
27. Pascal Maillard,
Etudes littéraires, Université de Strasbourg
28. Samuel Hayat, CR
science politique, CNRS Sciences Po Paris
29. Edmond Préteceille, DR
sociologie, CNRS
30. Alexandre Faure, EHESS
31. Marjorie Meiss MCF
Histoire
32. Clément Petitjean
américaniste Université Paris 1
33. Frédérique Sitri
analyse du discours UPEC
34. Cecilia D’Ercole
Anthropologie Université Paris 2
35. Marianne Lemaire
Anthropologie CR CNRS
36. Gabriel Facal
Anthropologie sociale EHESS
37. Eric Jolly
Anthropologue CNRS, EHESS
38. Véronique Bontemps, Anthropologue,
CNRS
39. Pascale Absi
Anthropologue IRD
40. Ouedraogo Dragoss
anthropologue Université de Bordeaux
41. Judith HAYEM
Anthropologue Université de Lille
42. Marine Spor
architecture ULB
43. Véronique Ginouvès
Archiviste CNRS
44. Antoine Bricaud Arts
plastiques LILLE 3
45. anne creissels Arts
Plastiques Université de Lille
46. Lise Lerichomme Arts
visuels Université de Picardie Jules Verne
47. Sarah Benhaïm Arts,
Esthétique CRAL
48. Juliette Galonnier
Assistant Professor en science politique IEP de Paris
49. Lucile Quéré
Assistante diplômée
50. Magali Dufau ATER
anthropologie Toulouse
51. Simon Zara ATER Arts
plastiques Strasbourg
52. Federico Calle-Jorda
ATER en études romanes Université Paris 1
53. Déborah Dubald ATER en
histoire des sciences Université de Lille
54. Marine Quennehen ATER
en sociologie INED
55. anaelle vayssiere ATER
géographe Université La Rochelle
56. Emilie Morand ATER
sociologie Paris Descartes
57. Sylvain Cantaloube
BIATSS Université de Toulouse
58. Guyomar Cervin
bioinformaticien Institut de génétique
59. Nicola Frith
Chancellor fellow en études françaises Université d’Edimbourg
60. Jeanne Longevialle
Chargée de collection Campus Condorcet
61. Mônica Raisa-Schpun
chercheur EHESS
62. Gilles
Favarel-Garrigues CNRS, science politique Sciences Po Paris
63. Sébastien Michon CNRS,
sociologie Université de Strasbourg
64. Guillaume Pallez CR
INRIA
65. Saint-Lary Maud CR IRD
66. Anne castaing CR CNRS
67. Rémi de Bercegol CR
CNRS
68. Marc Chardin CR
Mathématiques CNRS
69. Stefan Mengel CR
Mathématiques CNRS
70. Grégoire Sutre CR
Mathématiques CNRS
71. Monique Teillaud CR
Mathématiques INRIA
72. Emmanuel Thomé CR
Mathématiques INRIA
73. Makaremi Chowra CR
anthropologie CNRS
74. Mélanie Gourarier CR
anthropologie CNRS
75. Dror WARSCHAWSKI CR
Biologie CNRS
76. Agnès Adjamagbo CR
démographie IRD
77. Noémie Merleau-Ponty
CR en anthropologie CNRS
78. Alexis Roy CR en
anthropologie CNRS – IMAF
79. Benoît Trépied CR en
anthropologie CNRS – IRIS
80. Christophe Broqua CR
en anthropologie IMAF – CNRS
81. Nicolas Jaoul CR en
anthropologie IRIS – CNRS
82. Caroline Badouel CR en
biologie CNRS
83. Stéphanie Dos Santos
CR en démographie CNRS
84. Boris SAMUEL CR en
économie politique IEP de Paris
85. Florence ROCHEFORT CR
en histoire CNRS
86. Clyde Plumauzille CR
en histoire CNRS
87. Nicolas Lyon-Caen CR
en histoire CNRS
88. Aïssatou Mbodj CR en
histoire CNRS
89. Olivier Orain CR en
histoire Géo-Cités – CNRS
90. Sandra Aube CR en
histoire de l’art CNRS
91. Julien Talpin CR en
sciences politiques CNRS
92. Delphine Lacombe CR en
sociologie CNRS
93. Marie Vannetzel CR en
sociologie CNRS
94. Evelyne Ribert CR en
sociologie CNRS
95. Margot Delon CR en
sociologie CNRS
96. Moritz Hunsmann CR en
sociologie IRIS – CNRS
97. Paul Pasquali CR en
sociologie IRIS – CNRS
98. Tristan Fournier CR en
sociologie IRIS – CNRS
99. Mélanie Jacquemin CR
en sociologie
100. Arnaud Saint-Martin CR
en sociologie CNRS
101. Pascale
Rabault-Feuerhahn CR études germaniques CNRS
102. Nolwenn Lesparre CR
Géophysique CNRS
103. Séverine Awenengo
Dalberto CR histoire CNRS
104. Claire Sécail CR
Histoire CNRS Dauphine
105. Violaine Tisseau CR
Histoire CNRS
106. Wolf Feuerhahn CR
histoire des sciences CNRS EHESS
107. Thomas Seiller CR
Informatique CNRS
108. Julie Digne CR
Mathématiques CNRS
109. Nadia Marzouki CR
science politique Sciences Po Paris
110. Alexandre Escudier CR
science politique Sciences Po Paris
111. Silyane Larcher CR
Sciences politiques CNRS
112. Jérôme Lamy CR
sociologie CNRS
113. Olivier Roueff CR
Sociologie CNRS
114. Vincent-Arnaud Chappe
CR Sociologie CNRS
115. Wilfried Lignier CR
Sociologie CNRS EHESS
116. Marie Plessz CR
sociologie INRA
117. Jean-Yves Boulin CR
Sociologie Université Dauphine
118. Anna Perraudin CR
Sociologie CNRS
119. Maxime Quijoux CR
sociologie CNRS CNAM
120. Horacio Ortiz CR
sociologue CNRS
121. Milan Bouchet-Valat CR
sociologue INED
122. Violaine
Sebillotte-Cuchet Professeure d’histoire Université Paris 1
123. Armelle Andro
démographe Université Paris 1
124. olivia samuel
Démographe PU Université Versailles-Saint-Quentin
125. Gérard Chaouat
Directeur de recherche (émérite) en immunologie Hopital St-Louis
126. Christophe Guilmoto
Directeur de recherche en démographie IRD
127. Alain Blum Directeur
d’étude EHESS
128. Laure Bereni
Directrice de recherche en science politique CMH (EHESS-ENS)
129. Nathalie Bajos
directrice de recherche en sociologie et démographie INSERM – EHESS
130. Lagrave Rose-Marie
Directrice d’étude en sociologie EHESS – IRIS
131. Agnès Fine Directrice
d’étude honoraire EHESS
132. Christiane
Klapisch-Zuber Directrice d’études en histoire EHESS
133. Anne Lafont Directrice
d’études, Histoire de l’art EHESS
134. Sonny Walbrou Docteur
arts et culture Lille
135. Martin Julier-Costes
Docteur en anthropologie CNRS
136. Cyrille Lucas Docteur
en mathématiques Université Paris 10
137. Paul Brunet Docteur en
sciences de l’ingénieur Université de Perpignan
138. Marion Plault Docteur
en sociologie Université Paris-Saclay
139. Antoine Fersing
Docteur Histoire Université de Strasbourg
140. Daniel Veron Docteur
Sociologie Université de Nanterre
141. Anita Jorge Docteure
en Anglais Université de Lorraine
142. CAROLINE DEODAT
Docteure en anthropologie EHESS
143. Céline Labrune-Badiane
Docteure en histoire Université de Nantes
144. Louise Hombert
Docteure en science politique Université Paris Dauphine
145. Manon Him-Aquilli
Docteure en sciences du langage Université de Paris
146. Aurélie Gonnet
Docteure en sociologie CNAM
147. Manuela Salcedo
Docteure en sociologie EHESS
148. Margot Manale Docteure
Etudes germaniques Université Paris 8
149. Laurent Triboulet
doctorant Université Paris Nanterre
150. Louis Defraiteur
Doctorant Université Savoie Mont Blanc
151. Mathieu Tremblin
Doctorant Arts visuels Université de Strasbourg
152. Romain Jaouen
doctorant au Centre d’histoire de Sciences Po
153. Jean-Baptiste Lanne
doctorant en géographie Université de Bordeaux Montaigne
154. Clément Laroche
Doctorant en mathématiques Université Paris 10
155. Alice Pavie Doctorant
en sociologie Université d’Aix-Marseille
156. Guillaume Debat
doctorant histoire Toulouse
157. Lucas Fritz Doctorant
Infocom Université Paris Est Nanterre
158. Antoine Defourné
doctorant Informatique Lorraine
159. Fernand Louisnard
doctorant physique Toulouse
160. Julien Allavena
Doctorant science politique Université de Paris 8
161. Bruno Ranchin
doctorant sociologie EHESS
162. Víctor Albert Blanco
doctorant sociologie Paris 8
163. Maël Ginsburger
Doctorant Sociologie Sciences Po
164. Rim Affaya Doctorante
EHESS
165. MALARMEY Hélène
doctorante Université Paris Dauphine
166. Sfalti Hanan
Doctorante Université Toulouse 2
167. Alice Latouche
Doctorante CNRS / Université Paris 8
168. Morgann Barbara-Pernot
doctorante EHESS
169. Nassima Mekaoui
Doctorante en histoire EHESS
170. Hanae El Gouj
Doctorante en informatique Université de Bourgogne
171. Lucie Amir Doctorante
en littérature Université de Limoges
172. Flavia Leone
Doctorante en sociologie UPEC
173. Davidoux Marie
doctorante Histoire Paris
174. Maïté Recasens
Doctorante Histoire Université Toulouse 2
175. Sara De Balsi
Doctorante littérature Université Cergy-Pontoise
176. Léna Silberzahn
Doctorante science politique Sciences Po Paris
177. Michal Raz Doctorante
Sociologie Univ de Paris
178. Virginie Rigot
Doctorante sociologie EHESS
179. Marianne Le Gagneur
doctorante sociologie EHESS
180. Marianne Di Benedetto
Doctorante, Lettres Université Rennes 2
181. Loraine Kennedy DR
CNRS
182. Aminah Mohammad-Arif
DR Anthropologie CNRS
183. Catherine Marro DR en
archéologie CNRS
184. Béatrice Hibou DR en
économie politique CNRS
185. Nathalie Blanc DR en
géographie CNRS
186. Samuel Marty DR en
informatique CNRS
187. Jean-Sébastien Sereni
DR en informatique CNRS
188. Jérôme Lang DR en
informatique CNRS
189. Bernadette
Charron-Bost DR en informatique Ecole Polytechnique
190. Pascale Charpin DR en
informatique INRIA
191. Claude Marché DR en
informatique INRIA
192. Helena Hirata DR en
sociologie CNRS
193. Marta Segarra DR
Etudes de genre CNRS
194. Brunet Roger DR
géographe CNRS
195. Julie Vallée DR
Géographie CNRS
196. Christine Chivallon DR
géographie CNRS
197. Philippe Artieres DR
Histoire CNRS
198. Virgili Fabrice DR
histoire CNRS
199. Nicolas Schabanel DR
informatique CNRS Lyon
200. Joëlle Vailly DR
Sociologie IRIS – CNRS
201. Marc Bessin DR
sociologue CNRS
202. Sinan Efendioglu Elève
fonctionnaire stagiaire ENS
203. Jourdan Chartier
Emmanuelle
204. Fabrice Riceputi
Enseignant en histoire-géographie Besançon
205. Olivier Le Trocquer
Enseignant en histoire-géographie Paris
206. Philippe Radi
Enseignant Mathématiques IUT Paris Descartes
207. Emmanuelle Fillion Enseignante-chercheuse
en sociologie EHESP
208. Sophie Richardot
Epistémologie Université de Picardie
209. Sarah Troche
esthétique
210. Katell Morand
Ethnologie et sociologie comparative Université Paris Nanterre
211. Olivier Neveux études
théâtrales Université de Lyon
212. Anne Clerval Geographe
Université Paris Est Marne La Vallée
213. Marion Lecoquierre
Géographe IIREMAM
214. Weber Serge géographe
PU, Université Gustave Eiffel
215. Jean Rivière géographe
Université de Nantes
216. Anissa Ouamrane
géographe Université Paris Est Créteil
217. Anne-Cécile Hoyez
Géographe CR, CNRS
218. Virginie Baby-Collin
Géographe PU, Université Aix-Marseille
219. Jean-François Perrat
Géographe, doctorant ENS Lyon
220. Cécile Mattoug
Géographe, doctorante Geographie-Cités
221. Severin Guillard
Géographie Post-doctorant
222. Carole Bignon géographie
Université Paris 7
223. Antonin Margier
Géographie Université Rennes 2
224. Frédérique Blot
Géoraphie de l’environnement Université Jean-François Champollion
225. Geraud Magrin
géorgaphe, professeur PARIS 1
226. Annelise Erismann
Graduate assistant en études de genre
227. Béatrice von
Hirschhausen Géographie
228. Vincent AZOULAY
HIstoire Directeur d’études EHESS
229. Hervé Pennec histoire
Université d’Aix en Provence
230. Ghermani Naïma
Histoire Université de Grenoble Alpes
231. Ulrike Schmieder
Histoire Université d’Hannovre
232. Cédric Prévot,
épistémologie, Université de Lorraine
233. Christophe Naudin
Histoire
234. Olivier Compagnon
histoire PU, Université Sorbonne Nouvelle
235. Nourane BEN Azzouna
Histoire des arts Université de Strasbourg
236. Hélène Gispert
Histoire des mathématiques Université Paris Saclay
237. Rémy Bethmont Histoire
et civilisation britannique Université Paris 8
238. Paul Boulland
historien CHS
239. Guillaume Garner
historien ENS LYON
240. Sylvain Lesage
historien Université de Lille
241. Pierre Boilley
Historien Université de Paris I
242. Terrier Didier
Historien Université de valenciennes
243. Caru Vanessa
historienne CNRS
244. Rillon Ophélie
historienne CNRS
245. Camille Lefebvre
historienne DR, CNRS
246. Isabelle Backouche
historienne EHESS
247. Aurelia Michel
historienne MCF UNiversité de Paris
248. Anne Hugon historienne
MCF, Université Paris I
249. Maitte Corine
historienne PU, Université Gustave Eiffel
250. Sophie Gebeil
historienne Université Aix-Marseille
251. Amélie Nuq historienne
Université de Grenoble
252. Stephanie Prezioso
Historienne Université de Lausanne
253. Mathilde Rossigneux
historienne Université de Lyon
254. Marianne Thivend
historienne Université de Lyon
255. Gaïd Andro historienne
Université de Nantes
256. Stéphanie Alkofer
Historienne Université de Strasbourg
257. Ulrike Krampl
historienne
258. Mélanie Traversier
historienne MCF, Université de Lille III
259. JULIE MARQUET
historienne MCF, Université du Littoral
260. Maud Chirio
historienne MCF, Université Gustave Eiffel
261. Paulette Choné
Historienne de l’art Université de Bourgogne
262. lambert anne INED
263. Philippe Duchon
informatique Université de Bordeaux
264. Jean-Marc Fédou Informatique
Université de Nice Sophie Antipolis
265. Dubernard
Jean-Philippe Informatique Université de Rouen
266. Axel Bacher
Informatique Université Paris XIII
267. Damien Cartron
Ingénieur de recherche en sociologie CNRS
268. Benjamin Furst
Ingénieur de recherche, histoire Université de Strasbourg
269. Anne-Claire Baratault
ingénieur de recherches Université Paris 13
270. A.-M. Argenti
Ingénieure de recherche en sciences du langage CNRS
271. Forssell Anne
ingénieure d’études Cerlis
272. Gilles Laferté INRAE
273. Catherine CARTRON IR Sociologie
CNRS
274. Andre Didier ITA Paris
11
275. Sweeney Morgan Juriste
Université Paris-Dauphine
276. Manon Brouillet
Langues et littérature greque Université Picardie Jules Verne
277. Florent GAUDEZ
Littérature Université de Grenoble
278. Marie-Hélène Mourgues
Mathématicienne Université de Paris
279. Damiano Mazza
Mathématiques CNRS
280. LEONARDI Nathalie
Mathématiques Sciences Po
281. Jean Malifaud
Mathématiques Université de Paris
282. Zoé Mesnil
Mathématiques Université Paris Diderot
283. Frédéric Paccaut
Mathématiques Université Picardie Jules Verne
284. Nabil Bedjaoui
Mathématiques Université Picardie Jules Verne
285. Claire Delaplace
Mathématiques Université Rennes 1
286. Mireille Cabané MCF
Université de Loraine
287. Fanny KIEFFER MCF
Université de Strasbourg
288. Ilaria Pirone MCF
Université Paris 8
289. Anaïs Fléchet MCF
Université Paris-Saclay
290. Clément Barbier MCF
Université Polytechnique Hauts-de-France
291. Alexis Yannopoulos MCF
UT2J
292. jean-marc de Grave MCF
Anthropologie Université Aix-Marseille
293. Manda Green mcf
civilisation britannique Université Lyon 2
294. David Castañer MCF
civilisations ibériques Paris 1
295. Elisabeth Cudeville
MCF économie Paris 1
296. Hélène Nicolas MCF en
anthropolige Université Paris 8
297. Caterina Guenzi MCF en
anthropologie EHESS
298. Laurence Charlier MCF
en anthropologie Université de Toulouse
299. Jérôme Courduriès MCF
en anthropologie Université de Toulouse
300. Emmanuelle Savignac
MCF en anthropologie Université Paris 3
301. Franck QUESSETTE MCF
en biochimie UVSQ
302. Marc Calvini-Lefebvre
MCF en civilisation britannique Université AMU
303. Sabina Issehnane MCF
en économie Université de Paris
304. Baritaux Virginie MCF
en économie gestion Université Clermont Auvergne
305. Sylvain Saighi MCF en
électronique Université de Bordeaux
306. Mathieu Le
Fèvre-Berthelot MCF en études états-uniennes Université Rennes 2
307. Bouju Sophie MCF en
géographie Université Bordeaux Montaigne
308. Emmanuelle Peyvel MCF
en géographie Université de Bretagne Occidentale
309. Judicaelle Dietrich
MCF en géographie Université Lyon 3
310. Marion Tillous MCF en
géographie Université Paris 8
311. Jean Bérard MCF en
histoire ENS – Saclay
312. Louzon Victor MCF en
histoire Sorbonne Université
313. Régis Revenin MCF en
histoire Université
314. caroline Fayolle MCF
en histoire Université d’Avignon
315. Julien Léonard MCF en
histoire Université de Lorraine
316. Mathieu Grenet MCF en
histoire Université de Toulouse
317. Emmanuelle Perez MCF
en histoire Université de Toulouse
318. Julien VILLAIN MCF en
histoire Université d’Evry
319. Sébastien Malaprade
MCF en histoire Université Paris Est Créteil
320. Emmanuel Fureix MCF en
histoire UPEC
321. Frédéric OLIVE MCF en
informatique Université d’Aix-Marseille
322. Charlotte Truchet MCF
en informatique Université de Nantes
323. Yann Thierry-Mieg MCF
en informatique Université Paris 6
324. Pierre Coucheney MCF
en informatique UVSQ
325. Nathalie Peyrebonne
MCF en langue et civilisation espagnoles Université Paris 3
326. Werly Patrick MCF en
littérature Université de Strasbourg
327. Nancy Murzilli MCF en
littérature contemporaine Université Paris 8
328. Oliver Blazy MCF en
mathématiques Université de Limoges
329. Patrice Maniglier MCF
en Philosophie Université Paris Nanterre
330. Emmanuelle Rio MCF en
physique Université Paris Saclay
331. Elsa Rambaud MCF en
science politique IEP de Strasbourg
332. NICOLAS KACIAF MCF en
science politique Sciences Po Lille
333. Alice Mazeaud MCF en
science politique Université de La Rochelle
334. Sébastien Vignon MCF
en science politique Université de Picardie
335. Héloïse Nez MCF en
science politique Université de Tours
336. Eric Soriano MCF en
science politique Université Paul Valéry-Montpellier
337. Karën Fort MCF en sciences
du langage Université de Paris
338. Nadia Ouabdelmoumen
MCF en sciences du langage Université Rennes 2
339. Marianne Woollven MCF
en sociologie INSPE Clermont-Auvergne
340. Gabrielle Schütz MCF
en sociologie Université de Versailles St Quentin en Yvelines
341. Pierre Gilbert MCF en
sociologie Université Paris 8
342. Eideliman
Jean-Sébastien MCF en sociologie Université Paris Descartes
343. Natacha THIÉRY MCF
esthétique cinéma Université de PIcardie
344. Matthew Graves MCF
Etudes anglophones Université de Provence
345. Claire Fabre-Clark MCF
études anglophones UPEC
346. Philippe Rabate MCF
Etudes hispaniques Université Paris 10
347. Maxime Boidy MCF
Etudes visuelles UPEM
348. « Laura Péaud MCF
Géographe Université Grenoble Alpes
349. «
350. Pauline Bosredon MCF
Géographe Université de Lille
351. Marie Morelle MCF géographie
Paris 1
352. Johnny DOUVINET MCF
Géographie Université d’Avignon
353. Matthieu Gimat MCF
Géographie Université de Paris
354. Fabrice Ripoll MCF
géographie Université Paris Est Créteil
355. Caroline Galland MCF
histoire Nanterre
356. Elise Julien MCF
Histoire Science Po Lille
357. Charlotte
Bouteille-Meister MCF Histoire Univ Nanterre
358. Noémie Villacèque MCF
Histoire Univ. Reimls
359. Jérémie Foa MCF
Histoire Université Aix-Marseille
360. Delphine Diaz MCF
Histoire Université de Reims
361. Vargaftig Nadia MCF
histoire Université de Reims
362. Monique
Milia-Marie-Luce MCF Histoire Université des Antilles et de la Guyane
363. Guillaume Mazeau MCF
Histoire Université Paris 1
364. François Robinet MCF
Histoire UVSQ
365. Sandra Boehringer MCF
histoire Université de Strasbourg
366. Francois-Xavier Nérard
MCF Histoire contemporaine Université Paris 1
367. Brun Baptiste MCF
Histoire de l’art Rennes 2
368. Jenny Boucard MCF
Histoire des sciences Univ Nantes
369. Jean-Marie Favreau MCF
informatique Clermont Ferrand
370. Laurent Fuchs MCF
Informatique Mathématiques
371. Benoit Delahaye MCF
Informatique Université de Nantes
372. Kevin Perrot MCF
informatique Université Aix Marseille
373. Eleonora Guerrini MCF
Mathématique Université de Montpellier
374. Jean Fabbri MCF
mathématique Université de Tours
375. Guilhem Castagnos MCF
mathématiques Bordeaux
376. Haud Guéguen MCF
Philosophie CNAM
377. Cécile Lavergne MCF
philosophie Lille
378. Marie Garrau MCF
philosophie Paris 1
379. Nicolas Sandeau MCF
physique Ecole centrale Marseille
380. Nicolas Ferlay MCF
Physique Université de Lille
381. Karima Mersad MCF
psychologie Université de Paris
382. Ingrid Verscheure MCF
science de l’éducation Toulouse
383. Boris Gobille MCF
science politique ENS Lyon
384. Florence Hulak MCF
science politique Paris 8
385. Chloé Gaboriaux MCF
science politique Sciences Po Lyon
386. Gabrielle Angey MCF
Science politique Université Dauphine
387. Marion Carrel MCF
science politique Université de Lille
388. Julien Boelaert MCF
Science politique Université de Lille
389. Gervais Julie MCF
Science politique Université Paris 1
390. Perrier Gwenaëlle MCF
Science politique Université Paris 13
391. Codaccioni Vanessa MCF
science politique Université Paris 8
392. Ophélie Naessens mcf
sciences de l’art Nancy
393. Hayat Alilouche MCF
sciences du langage Université de Rouen
394. Jérémie BASTIEN mcf
sciences économiques Reims
395. Stéphanie Monjon MCF
sciences économiques Université Paris Dauphine
396. Monique Dalud-vincent
MCF Sciences politique Lyon 2
397. Laurent Bonelli MCF
sciences politiques UNiversité Paris Nanterre
398. Allouche Annabelle MCF
Sociologie Amiens
399. Sidonie Naulin MCF
Sociologie IEP de Grenoble
400. Ugo Palheta MCF
sociologie Lille
401. Paula Cossart MCF
sociologie Lille
402. Jules Simha MCF
sociologie Paris Descartes
403. Anne Bory MCF
Sociologie Université de Lille
404. Federico Tarragoni MCF
Sociologie Université de Paris
405. Ariel Sevilla MCF
sociologie Université de Reims
406. Marie Benedetto-Meyer
MCF Sociologie Université de Technologie de Troyes
407. Julie Jarty MCF
sociologie Université de Toulouse
408. Hélène Steinmetz MCF
Sociologie Université du Havre
409. Bidet Jennifer MCF
sociologie Université Paris
410. Guenfoud Karima MCF
Sociologie Université Paris 13
411. Coline Cardi MCF
sociologie Université Paris 8
412. Laure Pitti MCF
Sociologie Université Paris 8
413. Aurélie Jeantet MCF
sociologie Université Sorbonne NOuvelle
414. Sylvie Vilter MCF
Sociologie UVSQ
415. Saïd Belguidoum MCF
sociologie AMU
416. Jérôme Berthaut MCF
sociologie Bourgogne
417. Myriam Hachimi-Alaoui
MCF sociologie Le Havre
418. Marie-Christine Vinson
MCF, Littérature Université de Loraine
419. Larchet Nicolas MCF,
Sociologue, Université du Havre
420. Alexis Cukier
philosophe Université de Poitiers
421. Luca Paltrinieri
Philosophe Université de Rennes I
422. Isabelle Garo
philosophe
423. Manuel Rebuschi
Philosophie Université de Lorraine
424. Denis Forest
Philosophie Université Paris 1
425. Julian Carrey Physique
INSA
426. Amin Allal Politiste
CNRS
427. Virginie Dutoya
Politiste CR, CNRS
428. Florence Brisset-Foucault
politiste Paris Sorbonne
429. Paul Lagneau-Ymonet
Politiste Paris-Dauphine
430. Doris Buu-Sao
politiste Université de Lille
431. Pierre Lefébure
politiste USPN
432. Choukri Hmed Politiste
PU Paris-Dauphine
433. Fabien Jobard
politiste, CNRS Université Paris-Saclay
434. Olivier Roy politiste,
DR CNRS Institut universitaire de Florence
435. Frédéric Sawicki
politiste, professeur Paris Sorbonne
436. Lélio Brun Postdoc en
informatique ISAE SUPAERO
437. Mehdi Arfaoui post-doc
sociologie EHESS
438. Alexandre Geffroy
Post-doctorant LATTS
439. josselin tricou
Postdoctorant en sociologie IRIS – CNRS
440. Fabrizio Li Vigni
postdoctorant IFRIS
441. Pierre O
post-doctorant psychologie Paris
442. Clech Pauline
Post-doctorante INJEP
443. BOUQUET Marie-Victoire
Post-doctorante Université Paris Dauphine
444. Isabelle Mayaud
post-doctorante
445. Ida Tucker
post-doctorante cryptographie IMDA Madrid
446. Sabine Guez
Postdoctorante en anthropologie EHESS
447. Mathilde Provansal
Post-doctorante sociologie EHESS
448. M. Chatot
post-doctorante sociologie Université Paris Dauphine
449. Loïc Blondiaux PR de
science politique Université Paris 1
450. Franck Laurent PR en
histoire Université du Maine
451. François Laroussinie
PR en informatique Université Paris 7
452. Jean-François Monin PR
en informatiques Université de Grenoble
453. Jean-Luc Sauvageot PR
en mathématiques Université Paris 6
454. Paul Deheuvels PR en
mathématiques Université Paris 6
455. Michel Pocchiola PR en
mathématiques Université Paris 6
456. Jean-Christophe
Goddard PR en philosophie Université de Toulouse
457. Luca Greco PR en
sciences du langage Université de Lorraine
458. Haffemayer Stéphane PR
Histoire Université de Rouen
459. Lett Didier PR
histoire médiévale
460. sylvain sorin PR
Mathématiques UPMC
461. Nikos Kalampalikis PR
psychologie sociale Lyon 2
462. Franck Gaudichaud
professeur Université de Toulouse
463. Cécile Leguy
Professeur anthropologie Université Paris 3
464. Antoine Amarilli
Professeur associé en informatique Télecom Paris
465. François CUSSET
Professeur civilisation américaine Université Nanterre
466. Brisson Thomas Professeur
de science politique Université Paris 8
467. Sébastien Chauvin
Professeur de sociologie Université de Genève
468. Michel Kokoreff
Professeur de sociologie Université Paris 8
469. Nicolas Bué Professeur
des université en science politique Université d’Artois
470. Frédéric Landy
Professeur des Universités Université de Nanterre
471. Lachaud Jean-Marc
Professeur d’esthétique Université Paris 1
472. Eric Sopena Professeur
d’informatique Institut de technologie de Bordeaux
473. Dominique Glaymann
Professeur émér. sociologie Université Paris-Saclay
474. Jean-François Boclé
Professeur en arts École nationale supérieure d’art de Bourges
475. Fabien Laguillaumie
Professeur Informatique ENS Lyon
476. Nacira Guenif
Professeur sociologie Université Paris 13
477. Arnaud Regnauld
Professeur, littérature Université Paris 8
478. Bastien François
Professeur, science politique Université de Paris-Sorbonne
479. Ninon Grangé
Professeure agrégée en philosophie Université Paris 8
480. Juliette Morel Maroger
Professeure de droit Université de Bourgogne
481. Anne-Laure
Amilhat-Szary Professeure de géographie Université de Grenoble
482. Estelle Ferrarese
Professeure de philosophie université de Picardie
483. Eleonore Lépinard
Professeure de sociologie Université de Lausanne
484. Isabelle This
Saint-Jean Professeure d’économie Université Paris 13
485. Anna Bellavitis
Professeure d’histoire moderne université de Rouen
486. Maria Luisa Cesoni
Professeure émérite Université de Louvain
487. Tiphaine Karsenti
Professeure en études théâtrales Université Paris Nanterre
488. Serge Haddad Professor
of computer sciences ENS Paris Saclay
489. Anne-Catherine Wagner
PU Paris 1
490. Anne-Véronique Auzet
PU Strasbourg
491. Yves Guermond PU
émérite Géographie Université de Rouen
492. Riot-Sarcey Michèle PU
émérite Histoire Université Paris 8
493. Dork Zabunyan PU en
études cinématographiques Université Paris 8
494. Justine Faure PU en
histoire Université de Lille
495. Patrick Boucheron PU
en histoire Collège de France
496. Philippe Minard PU en
histoire EHESS – Paris VIII
497. Cyril Nicaud PU en
informatique Université Paris Est
498. Éric AGRIKOLIANSKY PU
en science politique Paris-Dauphine
499. Bruno Péquignot PU en
sociologie Université Sorbonne Nouvelle
500. David Giband PU
Géographe Université de Perpignan
501. Béatrice Touchelay PU
Histoire Université de Lille
502. Hatzfeld Nicolas PU
Histoire Université d’Evry
503. Michelle
Zancarini-Fournel PU Histoire Université Lyon 1
504. Natacha Coquery PU
Histoire Université Lyon 2
505. Ambroise-Rendu
Anne-Claude PU Histoire UVSQ
506. Véronique Goudinoux PU
histoire de l’art Lille
507. Yves BAUDELLE PU
Langue et littérature francaise Université de Lille
508. Hélène Machinal PU
littérature britannique UBO
509. Sylvain Duquesne PU
Mathématiques Rennes 1
510. Pecher Arnaud PU
Mathématiques Université de Bordeaux
511. Makis Solomos PU
Musicologie Université de Paris 8
512. Marie Cuillerai PU
Philosophie Université Paris Diderot
513. Thamy Ayouch PU
Psychanalyse Université Paris Diderot
514. Laurie Laufer PU
Psychanalyste Université de Paris
515. Frédérique Matonti PU
science politique IRD
516. Anne-Cécile Douillet
PU science politique Lille
517. Valérie Lozac’h PU
Science politique MSH-Alsace
518. Laurent Jeanpierre PU
science politique Paris 1
519. Annabelle Lever PU
science politique Sciences Po Paris
520. Jean-Philippe Heurtin
PU science politique Strasbourg
521. Pierre-Yves Baudot PU
Science politique Université Dauphine
522. catherine achin PU
science politique Université Paris-Dauphine
523. Nicolas Hubé PU
science politique Paris 1
524. Dominique Connan PU
science politique Picardie
525. Claire Blandin PU
Sciences de l’Information Université Sorbonne Paris Nord
526. Emilie Biland PU
sociologie Sciences-po Paris
527. Roland Pfefferkorn PU
sociologie Universié de Strasbourg
528. Jacquot Lionel PU
Sociologie Université de Lorraine
529. Sylvie Monchatre PU
sociologie Université Lyon 2
530. Jean-Yves Authier PU Sociologie
Université Lyon 2
531. Céline Bessière PU
Sociologie Université Paris-Dauphine
532. Paul BOINO PU
Urbanisme Lyon
533. Olivier Garet PU,
Mathématiques Université de Loraine
534. Daniela Scancella
Responsable de bibliothèque GED – Campus Condorcet
535. Maxime Amblard, Mcf en
informatique, Université de Lorraine
536. Bonnery Stephane
Sciences de l’éducation Paris 8
537. Ameni Tlili Sciences
du langage Université de Normandie
538. Carolina Pulici
Sciences sociales Université fédérale de São Paulo (Brésil)
539. Penissat Etienne
Sociologie CR CNRS
540. Paco Rapin sociologie
EHESS
541. Marion Charpenel
Sociologie Université de Rouen
542. Romain Juston-Morival
Sociologie Université de Rouen
543. Christophe Daum
Sociologie Université de Rouen
544. Sophie Maisonneuve
sociologie Université Paris Descartes
545. François Sarfati Sociologie
Université Paris Saclay
546. JP Higelé Sociologie,
MCF Université de Loraine
547. Michel Lallement
Sociologue Cnam
548. Sibylle Gollac
sociologue CNRS
549. Isabelle Clair
sociologue CNRS
550. Eve Meuret-Campfort
sociologue CNRS
551. Didier Demazière
sociologue CNRS
552. Pruvost Geneviève
sociologue CNRS
553. Pascal Marichalar
Sociologue CNRS
554. Linhart Danièle
Sociologue CNRS
555. Marine Al Dahdah
Sociologue CR CNRS
556. Laurens Sylvain
sociologue EHESS
557. Joanie
Cayouette-Remblière Sociologue INED
558. Nicolas Renahy
Sociologue INRAE
559. Meoïn Hagège
Sociologue IRIS – CNRS
560. Blandine Barlet
sociologue Pais Dauphine
561. Maroua Sbyea
sociologue UNIL
562. JUAN Salvador
Sociologue Université de Caen
563. Manuel Schotté
sociologue Université de Lille
564. boulayoune Ali
sociologue Université de Lorraine
565. Sonia Dayan-Herzbrun
Sociologue Université de paris 7
566. Violaine Girard
Sociologue Université de Rouen
567. Elise Palomares
sociologue Université de Rouen
568. Solenne Jouanneau
Sociologue Université de Strasbourg
569. Marianne Blanchard
Sociologue Université de Toulouse
570. Thierry Pillon
Sociologue Université Paris
571. Alexandre Piettre
sociologue Université Paris 7
572. Isabel Boni Le Goff
Sociologue Université Paris 8
573. Yasmine Siblot
sociologue Université Paris 8
574. Verene chevalier
sociologue Université Paris Est Créteil
575. Stephen Bouquin Sociologue
Université Paris Saclay
576. Pauline Barraud de
Lagerie Sociologue Université Paris-Dauphine
577. Sarah Abdelnour
Sociologue Université Paris-Dauphine
578. Muriel Mille
Sociologue Université Versailles-Saint-Quentin
579. Henri Eckert
sociologue
580. Karel Yon sociologue
CNRS
581. Jules Naudet
Sociologue CR, CNRS
582. Maxime Felder
sociologue Université de Genève
583. Ana Perrin-Heredia
Sociologue CR CNRS
584. Eleonora Elguezabal
Sociologue CR INRAE
585. Elsa Favier Sociologue
Docteure EHESS
586. Philippe Coulangeon
Sociologue DR CNRS
587. Fanny Jedlicki,
sociologue MCF Université de Nantes
588. Jean-Marie Pillon
Sociologue MCF Université Paris-Dauphine
589. Landour Julie
sociologue MCF Université Paris-Dauphine
590. Arnaud MIAS Sociologue
PU Paris-Dauphine
591. Emmanuel Didier
sociologue, CNRS Ecole normale supérieure
592. Gisèle Sapiro
Sociologue, DR CNRS Centre Marc Bloch, Berlin
593. Julien Gros
Sociologue, DR CNRS LEST
594. Bérénice Girard
sociologue, post-doctorante CEIAS
595. Perruchon Véronique
Théâtre Université de Lille
596. Ana-Maria Szilagyi
Théorie politique Sciences Po
597. Marc-Antoine Weisser
Centrale-Supelec
598. Juliette Rouchier CNRS
599. Arlette Hérat IRD
600. Marc Calvini-Lefebvre
Université AMU
601. Lucie Bony Université
de Bordeaux
602. Christine Barats
Université de Paris
603. Claire Besuelle
Université de Lille
604. Fabien Durand
Université de Picardie Jules Verne
605. Tatiana
Debbagi-Baranova Université Paris 4
606. Catherine Samary,
économiste, Université Paris-Dauphine PSL
607. Alain Policar, Cevipof
608. Jean-François Dusigne,
arts du spectacle, théâtre, ethnoscenologie, Université Paris