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A Fratellanza a fermé son accueil de jour à Bastia
A Bastia, où le nombre de SDF est beaucoup moins nombreux, l’association Fratellanza qui reçoit en son service d’accueil de jour 30 à 50 SDF par jour, a du fermer son local de jour pour raisons sanitaires. «Nous ne pouvions exposer nos salariés et nos bénévoles face à des problèmes de promiscuité. C’était trop dangereux pour eux » explique Jean-Claude Vignoli, le vice-président de l’association. «Par contre notre accueil de nuit, situé à l’ancien hôpital de Toga fonctionne de nuit comme de jour mais nous ne possédons que 13 lits. Un service de repas est délivré et un gardiennage est assuré. Ceux qui y sont logés peuvent sortir autour du bâtiment en respectant bien sûr les mesures barrières et de distance. Nous avons reçu des aides de la préfecture de la Haute-Corse et de la CdC. La Ligue des Droits de l’Homme nous a aussi proposé son aide. Par contre pour les autres SDF qui sont dans la nature, le problème reste entier d’autant que le centre d’hébergement de nuit de St Joseph est fermé. Nous on travaille vraiment à la limite de nos possibilités»
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"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut
"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut inscrire dans la loi la totalité de la justice." Victor BASCH au Congrès de 1929. Président de la LDH de 1926 à 1944. Il fut assassiné avec sa femme Ilona par la milice française le 10 janvier 1944.
samedi 21 mars 2020
samedi 14 mars 2020
jeudi 12 mars 2020
Dans Corse-matin du 12/03/2020, le candidat-maire Laurent Marcangeli intervient sur de récents incidents qui ont eu lieu place du Diamant à Ajaccio. Il rappelle les responsabilités de la préfecture en matière de police et de tranquillité publique. Il mentionne la ligue des droits de l’homme qui en octobre 2018 et non pas il y a quelques mois, l’avait alarmé sur la manière de prendre en charge les sans domiciles fixes présents sur cette place, rappelant que l’intervention publique ne pouvait se réduire à un traitement policier. La LDH avait entrepris la même démarche auprès de l’autorité préfectorale. Dans un élan polémiste, M. Marcangeli semble considérer que la LDH a pu disposer de suffisamment de pouvoir pour entraver son action et expliquer une situation qui perdure à la veille de l’élection municipale. La faute aux autres en quelque sorte. Le candidat Marcangeli sous-estime-t-il les possibilités d’agir d’un maire après avoir été le premier magistrat de la ville d’Ajaccio pendant six ans ? Etonnant.
dimanche 8 mars 2020
Communiqué - respect des personnes dans le cadre de la campagne électorale
" La multiplication de gestes crapuleux, récemment des véhicules incendiés, ou de propos diffamants, notamment sur le réseau social, contre des candidats aux élections municipales inquiète la ligue des droits de l'homme. Ces actions sont éprouvantes pour les personnes ciblées et leur famille. Elles ne s'effaceront pas au lendemain des élections. La LDH condamne vivement ces comportements qui atteignent toute la société. Elle en appelle au respect des personnes".
Corse-Matin 9/03 :
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Corse-Matin 9/03 :
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mardi 3 mars 2020
Lettre ouverte de la ligue des droits de l'Homme aux candidates et candidats à l'élection municipale.
Les
élections municipales sont un rendez-vous démocratique important. Pendant six années,
les futur-e-s élu-e-s disposeront de compétences conséquentes en matière de
développement local. L’aggravation de la crise sociale, climatique et
environnementale donne une nouvelle dimension politique à ces élections. Le
temps presse. La prochaine décennie sera décisive pour limiter les dérèglements
à venir. Les politiques publiques à mettre en œuvre au niveau communal et
intercommunal s’inscrivent dans cette urgence.
Le
diagnostic n’est plus à faire. Nous avons cru à une croissance infinie. Mais l’épuisement
des ressources, l’altération de nos conditions de vie, le recul de la
biodiversité, le creusement des inégalités nous disent aujourd’hui les limites
à ne pas franchir.
Nous
devons changer de modèle de développement. La question des déchets est ici
emblématique. Leur traitement est essentiel. Leur production l’est tout autant.
Il nous faut revisiter sur le fond nos modes de production et de consommation
ainsi que leur emprise sur l’occupation des sols et l’organisation des
transports. A court terme, il nous faut recréer les conditions d’un
développement viable et solidaire. Nous ne pouvons nous résoudre à l’abandon de
territoires entiers et à la soumission d’autres territoires au profit des
centres urbains qui portent principalement l’illusion d’une croissance infinie.
Les
élections municipales ne sont pas synonymes de territoires à conserver ou à
conquérir dans la perspective d’autres scrutins mais de projets de territoire
répondant à l’urgence sociale, climatique et environnementale.
Mesdames
et messieurs les candidat-e-s, il vous revient la responsabilité de nous
éclairer sur vos projets. Au lendemain du 22 mars, il reviendra à celles et
ceux qui seront élu-e-s de développer des politiques publiques en pensant aux
jeunes d’aujourd’hui et aux générations à venir.
Corse-Matin 5/03 :samedi 29 février 2020
Rassemblement de solidarité avec la famille DAHIR ce samedi à Ajaccio
Quelques 150 personnes se sont retrouvées en soutien à la famille pour demander la prise en considération de l'intérêt supérieur des trois enfants scolarisés depuis cinq années à Ajaccio.

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Corse-Matin 1/03 :

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Corse-Matin 1/03 :
vendredi 28 février 2020
La ligue des droits de l’Homme et l’association des Maghrébins de Corse-du-Sud appellent à un rassemblement de solidarité avec la famille DAHIR menacée d’expulsion pour demander le retour des trois enfants à l’école.
Le rassemblement se tiendra samedi 29 février à 16h30 devant la préfecture de Corse.
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Corse-Matin 29/02
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Corse-Matin 29/02
jeudi 27 février 2020
Soutien de la CGT de la Corse-du-Sud à la famille Dahir
Le 18 février 2020, Mr et Mme Dahir et leurs trois enfants, installés en Corse depuis cinq ans, ont fait l'objet d'une mesure d'expulsion et ont été transférés dans un centre de rétention à Nîmes. Cette décision est intervenue après une demande de titre de séjour qui a fait l'objet d'un refus en juillet 2019 et de plusieurs recours qui n'ont guère abouti. La CGT s'élève vivement contre « la reconduite à la frontière » de cette famille, et la descolarisation violente et traumatisante des enfants qui en a découlé.
Nous tenons à rappeler que l'intérêt supérieur de l'enfant doit être une considération primordiale.
Nous sommes sûrs, monsieur le Préfet que vous saurez prendre la mesure de la gravité de la situation et que vous actionnerez tous les leviers dont vous disposez afin de permettre à ces enfants de poursuivre leur scolarité dans une contexte serein et au sein duquel s'appliquent les valeurs fondatrices de la République.Leur avenir en dépend.
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