"La situation syrienne a passé un nouveau cap ce 21 août après le témoignage de nombreux médecins quant à l'utilisation de l'arme chimique. Il s'agit d'un crime de guerre ! Nous attendons que les experts de l’ONU précisent les responsabilités. Une évidence s’impose toutefois : la dictature poursuit son travail de sape de la population et des espoirs d'émancipation du peuple syrien. Depuis le déclenchement de cette guerre civile, la LDH avec la FIDH et le REMDH n’ont cessé de dénoncer l’inaction de la communauté internationale. Aujourd’hui, devant l'aggravation de la situation, certains pays, notamment la France, menacent d'une intervention militaire. La LDH section de Corse considère que ce type d'intervention en dehors du droit international n’est pas acceptable. Elle rappelle aussi que la Charte des Nations Unies prévoit d’autres moyens que celui de la force qui constitue le recours ultime. Elle en appelle plus particulièrement à la vigilance des Corses. La place de notre île dans ce type d'intervention, territoire relais en cas de frappes aériennes, doit interroger sur notre devenir dans le cadre d’un dispositif militaire permanent des pays occidentaux."
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"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut
"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut inscrire dans la loi la totalité de la justice." Victor BASCH au Congrès de 1929. Président de la LDH de 1926 à 1944. Il fut assassiné avec sa femme Ilona par la milice française le 10 janvier 1944.