Dans Corse-matin du 12/03/2020, le candidat-maire Laurent Marcangeli intervient sur de récents incidents qui ont eu lieu place du Diamant à Ajaccio. Il rappelle les responsabilités de la préfecture en matière de police et de tranquillité publique. Il mentionne la ligue des droits de l’homme qui en octobre 2018 et non pas il y a quelques mois, l’avait alarmé sur la manière de prendre en charge les sans domiciles fixes présents sur cette place, rappelant que l’intervention publique ne pouvait se réduire à un traitement policier. La LDH avait entrepris la même démarche auprès de l’autorité préfectorale. Dans un élan polémiste, M. Marcangeli semble considérer que la LDH a pu disposer de suffisamment de pouvoir pour entraver son action et expliquer une situation qui perdure à la veille de l’élection municipale. La faute aux autres en quelque sorte. Le candidat Marcangeli sous-estime-t-il les possibilités d’agir d’un maire après avoir été le premier magistrat de la ville d’Ajaccio pendant six ans ? Etonnant.
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"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut
"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut inscrire dans la loi la totalité de la justice." Victor BASCH au Congrès de 1929. Président de la LDH de 1926 à 1944. Il fut assassiné avec sa femme Ilona par la milice française le 10 janvier 1944.