SOUTIEN DU STC EDUCATION à la famille Dahir
Une mesure d'expulsion a été prononcée pour la famille Dahir le 18 février 2020 en raison de l'expiration du titre de séjour, et le transfert vers le centre de rétention de Nîmes.
Ce couple de nationalité marocaine et ses trois enfants sont arrivés sur le territoire français de façon régulière dans le cadre d’une convention franco-marocaine au début de l’année 2015.
Monsieur DAHIR est venu pour exercer une mission éducative en dispensant des cours de langue arabe dans des écoles primaires à Ajaccio de 2015 à 2019. Il s’est impliqué dans sa mission et a mis ses compétences au service de l’Education Nationale au cours de ces cinq années.
La famille a alors formé le projet de s’installer durablement sur le territoire. Avant la fin du contrat de la mission éducative, la famille a déposé une demande de titres de séjour auprès des services de la préfecture de Corse en mai 2018. Les titres de séjour ont été refusés en juillet 2019. Les recours formulés n’ont pas eu d’issue favorable et une obligation de quitter le territoire a été prononcée.
Le STC education se joint à la Ligue de Droits de l'homme pour apporter son soutien à cette famille qui résidait et ne posait aucun problème en Corse depuis cinq ans.
Pages
- ACCUEIL
- TEXTES DE REFERENCE DE LA LDH CORSICA
- DOSSIERS
- Rapports d'activités de la section
- Huit heures pour la solidarité - 2007/2012
- Fusillés de la Guerre 1914-1918
- Solidarité avec la section LDH de Bayonne
- Solidarité avec la Section LDH de Nouvelle-Calédonie
- Vidéos - archives
- "Appel contre les assassinats et la loi de la jungle"- 2013
- "Droit de vote 2014"
- Etat d'urgence - 2015/2017
- Etat d'urgence sanitaire - 2020
- Pour la démocratie et les libertés : Non au fichage généralisé
- "Islamo-gauchisme" : stopper la confusion et les polémiques stériles
- La rubrique de Francine DEMICHEL, professeur de droit à la retraite, membre du bureau de la section corse de la LDH
- RETOURS SUR L'HISTOIRE DE LA LDH suite aux accusations du gouvernement
"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut
"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut inscrire dans la loi la totalité de la justice." Victor BASCH au Congrès de 1929. Président de la LDH de 1926 à 1944. Il fut assassiné avec sa femme Ilona par la milice française le 10 janvier 1944.