Le bombardement intensif de Gaza depuis 6 jours, avec plus de 1900 raids
israéliens
a causé la mort de plus de 160 Palestiniens, blessé près
de 1000 autres et détruit plus de 230 habitations.
Une nouvelle fois le pouvoir israélien déclenche un déluge de feu sur Gaza, au prétexte de tirs de roquettes, mais avec pour objectif avoué de mettre fin au gouvernement palestinien d’entente nationale, condition pourtant nécessaire à tout progrès vers une paix juste. Devant cette situation dramatique, les gouvernements occidentaux se cantonnent une nouvelle fois à « dénoncer l’engrenage de la violence », sans désigner le responsable de cette nouvelle tragédie, et appelant seulement le gouvernement israélien à « la retenue ». L’Union européenne disposerait d’un moyen simple : la suspension de l’accord d’association avec Israël qui accorde des avantages économiques à ce pays. Cet accord est conditionné par le respect des droits humains, ce qui n’est pas le cas avec la colonisation et l’existence du mur qui sont illégaux selon le droit international. > Pour dénoncer cette passivité coupable de nos gouvernants, et obtenir des actions concrètes de la France auprès du pouvoir israélien nous lançons un appel à se rassembler devant la préfecture d’Ajaccio le mardi 15 juillet à 17h30 : > Pour l’arrêt immédiat des bombardements sur Gaza > Pour l’arrêt de l’agression israélienne en Cisjordanie et à Jérusalem > Pour la levée du blocus, illégal et criminel, de Gaza > Pour des sanctions immédiates contre Israël jusqu’au respect du droit international > Pour le soutien au gouvernement d’entente nationale .
Corsica Palestina et la Ligue des Droits de l’Homme
appellent les organisations politiques, syndicales, associatives de Corse à
nous rejoindre sur ce texte qui reprend intégralement (hors la mise à jour tragique des victimes et des
destructions) celui signé par les organisations qui suivent .Celles-ci se
sont rassemblées le 11 juillet devant le ministère des affaires étrangères à
Paris et une délégation de ce collectif national a été reçue.
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"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut inscrire dans la loi la totalité de la justice." Victor BASCH au Congrès de 1929. Il a été président de la LDH de 1926 à 1944. Il fut assassiné avec sa femme Ilona par la milice française le 10 janvier 1944.