Dans cette affaire de violences commises à l’encontre d’employés
de la Société Générale-Balagne, la LDH condamne les violences et menaces mais
ne pointe pas du doigt d'hypothétiques responsabilités.
Dans un communiqué paru le 24/10, elle a exprimé sa solidarité, sa demande de justice et d’apaisement sans y mêler une quelconque accusation de ceux qui revendiquent une corsisation des emplois .
La LDH n’a pas pour mandat de désigner des coupables, ni de transformer les débats en conflits d’intérêts. Elle place l’urgence de son action dans le besoin de justice et dans la solidarité, qu’elle renouvelle en direction des deux personnes victimes de ces violences. »