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"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut
"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut inscrire dans la loi la totalité de la justice." Victor BASCH au Congrès de 1929. Président de la LDH de 1926 à 1944. Il fut assassiné avec sa femme Ilona par la milice française le 10 janvier 1944.
samedi 7 octobre 2017
16 octobre 2012 - 16 octobre 2017 - Cinq ans après l'assassinat d'Antoine SOLLACARO - Via Stella - Dix ans - Interview d'André PACCOU
"10 ans déjà avec André Paccou" - France 3 Via Stella
dimanche 1 octobre 2017
CATALOGNE : rassemblements de soutien
La LDH
Corsica présente aux rassemblements initiés par des acteurs culturels, à
Ajaccio ce dimanche à 18 h devant l'Assemblée de Corse, et à Bastia, pour
dénoncer la répression en Catalogne.
La
participation de la LDH s'inscrit dans la suite de son communiqué du 21
septembre.*
*La situation en Catalogne, à l’approche d’un référendum sur
l’indépendance, inquiète la LDH Corsica. Des réunions publiques sont
interdites, des affiches politiques arrachées, des sites internet fermés, des
élus arrêtés par dizaines et menacés de poursuites devant les tribunaux. Face à
une question d’ordre politique, le gouvernement espagnol choisit la réponse
judiciaire et répressive. Mais comme le rappelle justement la maire de
Barcelone, « quand quelqu’un ne reconnaît pas ta singularité, ne respecte
pas tes demandes, coupe tes droits, la perception est celle d’un mépris ».
Et ce sentiment provoque une révolte légitime. Ce jour, la LDH Corsica adresse
un message de protestation à l’Ambassade d’Espagne en France et interpelle le
gouvernement espagnol afin que cesse un état d’exception en Catalogne. Il faut
pouvoir retrouver le chemin de la démocratie en ouvrant un dialogue avec tous
les catalans.
Corsenetinfos
Corse-Matin 2/10 :
Corsenetinfos
Corse-Matin 2/10 :
mardi 26 septembre 2017
Communiqué - Ci vole a cumpia incu a clandestinita - En finir avec la clandestinité
Ces trois derniers
mois, des organisations clandestines se sont exprimées publiquement. L’une
d’entre elles a rendu hommage à un de ses militants, récemment disparu. Si la
LDH n’adhère pas à la démarche, elle veut toutefois redire son profond respect
pour Jean-Marie POLI et rappeler son action en faveur de la paix. Deux autres
organisations clandestines ont prononcé des mises en garde à l’encontre de
l’Etat.
La LDH en appelle à la responsabilité
de tous. Voulons-nous un retour en arrière vers des affrontements ou allons-nous
de l’avant vers la paix ? Manifestations de rue, réunions publiques,
partis politiques, pétitions, associations, liberté de la presse, délégations,
syndicats et libertés syndicales… Seul le renforcement de l’engagement citoyen
dans l’espace démocratique permettra des prises de conscience contre les
injustices et l’émancipation par la conquête de nouveaux droits.
La démocratie, rien que
la démocratie, toute la démocratie et donc l’abandon de toute démarche
clandestine !
samedi 23 septembre 2017
jeudi 21 septembre 2017
Catalogne : inquiétudes de la LDH Corsica - Communiqué
La situation en Catalogne, à l’approche
d’un référendum sur l’indépendance, inquiète la LDH Corsica. Des réunions
publiques sont interdites, des affiches politiques arrachées, des sites internet
fermés, des élus arrêtés par dizaines et menacés de poursuites devant les
tribunaux. Face à une question d’ordre politique, le gouvernement espagnol
choisit la réponse judiciaire et répressive. Mais comme le rappelle justement
la maire de Barcelone, « quand quelqu’un ne reconnaît pas ta singularité,
ne respecte pas tes demandes, coupe tes droits, la perception est celle d’un
mépris ». Et ce sentiment provoque une révolte légitime. Ce jour, la LDH
Corsica adresse un message de protestation à l’Ambassade d’Espagne en France et
interpelle le gouvernement espagnol afin que cesse un état d’exception en
Catalogne. Il faut pouvoir retrouver le chemin de la démocratie en ouvrant un
dialogue avec tous les catalans.
dimanche 17 septembre 2017
Disparition de Jacky MICAELLI
Jacky MICAELLI nous a
quittés. Elle était une artiste de talent, une femme de conviction, une
humaniste. Amoureuse de sa culture, elle la concevait comme une ouverture au
monde, un lien avec les autres, une œuvre de fraternité. A sa famille et ses
proches, la ligue des droits de l’homme présente ses plus sincères
condoléances.
Communiqué - lieu de culte souillé à Isula Rossa
Une tête de sanglier a été retrouvée, ce
matin, devant la salle de prière à Ile-Rousse. Une fois de plus un lieu de
culte a été souillé avec la volonté manifeste de blesser des personnes de
confession musulmane. La LDH condamne ces pratiques odieuses et malveillantes
qui visent à attiser des haines au sein de la société corse. Elle exprime son
soutien aux personnes touchées par cet acte raciste. Elle en appelle au refus
de la banalisation de tels méfaits.
Corsenetinfos
France 3 Corse Via Stella - Site
RCFM - Journal 18h - 17/09
Corse-Matin 18/09
Corsenetinfos
France 3 Corse Via Stella - Site
RCFM - Journal 18h - 17/09
Corse-Matin 18/09
vendredi 15 septembre 2017
Communiqué - Les traitements dégradants et inhumains doivent cesser
Les
mesures employées par l’escorte pour s’assurer de la personne de Monsieur
Franck Paoli contreviennent aux textes fondamentaux qui fixent les principes
essentiels de notre droit pénal.
Si
les informations dont dispose la ligue des droits de l’Homme devaient s’avérer
exactes, Monsieur Franck PAOLI a été interpellé à 2H du matin puis conduit
cagoulé, menotté avec l’équivalant d’une laisse vers les lieux dans lesquels il
allait être interrogé et placé en détention provisoire.
En
outre aucune nourriture ni boisson ne semblent lui avoir été proposées pendant
plus de 24 heures.
Ces
méthodes s’inscrivent en violation flagrante de :
- l’article 9 de la déclaration universelle des
droits de l’homme et du citoyen ayant valeur constitutionnelle :
« Tout homme étant présumé innocent
jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de
l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa
personne doit être sévèrement réprimée par la loi. »
-
l’article 3 de la convention européenne des
droits de l’homme:
« Nul ne peut être soumis à la torture
ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants. »
Ces
pratiques doivent être dénoncées, un homme recherché par la justice ne doit pas
pour autant être relégué au rang d’esclave ou d’animal.
Il
mérite à l’inverse un traitement humain et digne sans que les mesures de sûreté
employées ne soient disproportionnées au regard des objectifs poursuivis.
Corsenetinfos
RCFM journal 18h - 15/09
Corse-Matin 16/09
Corsenetinfos
RCFM journal 18h - 15/09
Corse-Matin 16/09
mercredi 13 septembre 2017
Délit de solidarité - Soutien à Pierre Alain Mannoni - Communiqué de la FIDH
La France continue de
harceler les défenseurs des droits des personnes migrantes
11/09/2017
COMMUNIQUÉ
Paris-Genève,
le 11 septembre 2017 - L’Observatoire pour la protection des défenseurs des
droits de l’Homme (un partenariat FIDH-OMCT) et la Ligue des droits de l’Homme
(LDH) dénoncent la condamnation du défenseur des droits des migrants
Pierre-Alain Mannoni à deux mois de prison avec sursis et s’inquiètent de la
multiplication des cas de personnes harcelées en France pour leur soutien aux
personnes migrantes.
Le 11 septembre 2017, la Cour d’appel d’Aix-en-Provence a condamné M. Pierre Alain Mannoni à deux mois de prison avec sursis pour avoir aidé et transporté en France trois jeunes migrantes dont une mineure. Fin août, la même cour avait condamné un autre défenseur, Cédric Herrou, à quatre mois de prison avec sursis [1].
Le 11 septembre 2017, la Cour d’appel d’Aix-en-Provence a condamné M. Pierre Alain Mannoni à deux mois de prison avec sursis pour avoir aidé et transporté en France trois jeunes migrantes dont une mineure. Fin août, la même cour avait condamné un autre défenseur, Cédric Herrou, à quatre mois de prison avec sursis [1].
Depuis près
d’un an, M. Pierre-Alain Mannoni fait l’objet d’un harcèlement judiciaire
suite à son interpellation le 18 octobre 2016 par la gendarmerie de Grasse
alors qu’il transportait dans son véhicule trois jeunes femmes d’origine
érythréenne. Celui-ci les avait pris en charge à Saint-Dalmas-de-Tende, alors qu’elles
se trouvaient dans un bâtiment abandonné, investi par un collectif
d’associations. Face à leur situation de dénuement, M. Pierre-Alain
Mannoni les avait accueillies à son domicile, avant de les conduire à une gare.
Pierre-Alain
Mannoni a alors été poursuivi pour violation de l’article L.622-1 du Code de
l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (Ceseda), avant d’être
relaxé par le Tribunal correctionnel de Nice, concluant à son immunité pénale,
l’assistance en question n’ayant donné lieu à aucune contrepartie directe ou
indirecte. Le procureur a ensuite fait appel de la décision.
La LDH et
l’Observatoire s’indignent de voir à nouveau la solidarité envers les migrants
être jugée comme un délit. Cette nouvelle condamnation fragilise le statut
des défenseurs des droits des personnes migrantes en France, qui font face à
une multiplication des cas de convocations au commissariat, de gardes à vue et
de poursuites pour aide au séjour irrégulier ou autres délits [2].
La LDH et
l’Observatoire regrettent cette décision de justice qui fragilise les acteurs
de la solidarité et réaffirment leur totale solidarité avec Pierre-Alain
Mannoni.
Nos
organisations appellent les autorités françaises à garantir une protection
efficace contre des poursuites visant des actions « humanitaires et
désintéressées » en amendant les dispositions de l’article L. 622-4 du
Ceseda [3].
Notes
[1] Cf.
communiqué conjoint de l’Observatoire et de la LDH, 29 août 2017.
[2] Cf.
dossier web du Groupe d’information et de soutien des immigrées (GISTI) sur la
recrudescence du délit de solidarité : http://www.gisti.org/spip.php?article5179
[3] Cf.
l’avis n°0131 du 4 juin 2017 de la CNCDH, Avis : mettre fin au délit de
solidarité, disponible sur https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000034851164
mardi 12 septembre 2017
Communiqué de soutien au maire de Centuri
"La ligue des droits de l’Homme condamne fermement les tirs qui ont visé
le domicile de David BRUGIONI, maire de Centuri, le mettant en danger ainsi que
sa famille.
En ces circonstances, elle leur témoigne de sa solidarité.
Ces pratiques violentes d'intimidation sont inacceptables.
Chaque fois qu'un maire est victime d'une agression de ce type, c'est une
atteinte portée à la démocratie."Corse-Matin 13/09
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