Pages
- ACCUEIL
- TEXTES DE REFERENCE DE LA LDH CORSICA
- DOSSIERS
- Rapports d'activités de la section
- Huit heures pour la solidarité - 2007/2012
- Fusillés de la Guerre 1914-1918
- Solidarité avec la section LDH de Bayonne
- Solidarité avec la Section LDH de Nouvelle-Calédonie
- Vidéos - archives
- "Appel contre les assassinats et la loi de la jungle"- 2013
- "Droit de vote 2014"
- Etat d'urgence - 2015/2017
- Etat d'urgence sanitaire - 2020
- Pour la démocratie et les libertés : Non au fichage généralisé
- "Islamo-gauchisme" : stopper la confusion et les polémiques stériles
- La rubrique de Francine DEMICHEL, professeur de droit à la retraite, membre du bureau de la section corse de la LDH
- RETOURS SUR L'HISTOIRE DE LA LDH suite aux accusations du gouvernement
"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut
dimanche 17 juillet 2022
mardi 12 juillet 2022
Patrick BAUDOUIN, en Corse pour son premier déplacement en tant que président national de la LDH
Un militant au service des droits et de la justice dans le monde
Maître Patrick BAUDOUIN est président de la LDH, membre de la CNCDH, président d'honneur de la FIDH. Il a en effet été plusieurs années président de la FIDH, Fédération Internationale des ligues des droits de l'Homme qui regroupe près de 200 organisations de défense des droits de l'Homme dans le monde.
Son engagement pour les droits de l'Homme est à dimension internationale. Il œuvre pour la justice internationale depuis de nombreuses années; particulièrement concernant les crimes de guerre, les crimes contre l'Humanité, les crimes de génocide.
Parmi bien d'autres, nous pouvons rappeler son combat pour la vérité aux côtés des familles des moines de Tibhirine, sept hommes torturés, décapités en 1996 pendant la guerre civile algérienne, son combat en défense des condamnés dans le camp de Guantanamo aux Etats-Unis et victimes de tortures, son action pour démontrer l'implication et les responsabilités d'entreprises multinationales incriminées pour leur soutien à des dictatures et régimes pratiquant arrestations arbitraires et tortures d'opposants, son combat pour établir les responsabilités, dont celles de la France, dans le génocide des Tutsis au Rwanda, son combat aujourd'hui pour le rapatriement des enfants français et de leur mère détenus dans des camps en Syrie dans des conditions effroyables.
Corse-Matin 13 juillet :
samedi 2 juillet 2022
Droit à l'avortement - Rassemblements à Ajaccio, Bastia, Porto-Vecchio ce samedi 2 juillet
Les rassemblements pour le droit à l'avortement ont réuni plusieurs centaines de personnes à Ajaccio, Bastia et Porto-Vecchio.
A Ajaccio, une délégation composée de Christine MATTEI - PACCOU et de Elsa RENAUT représentantes de la LDH, de Marie-Jeanne NICOLI, présidente du CESEC, présente à titre personnel, de Marie-Laure PAOLI, enseignante, de Dominique ANDREANI, présidente du comité ajaccien de Femmes solidaires a été reçue en Préfecture pour porter la défense des droits des femmes et de l'égalité entre les hommes et les femmes.
A Bastia, une délégation composée de Marie-Anne ACQUAVIVA représentante de la LDH, de Nanette MAUPERTUIS, présidente de l'Assemblée de corse, de Marie-Josée BELLAGAMBA, avocate au barreau de Bastia et de Rosy SARROLA, présidente de Femmes solidaires haute-Corse a également été reçue en préfecture.
A Porto-Vecchio, Jean-Christophe ANGELINI a aussi reçu une délégation de manifestants dont Francesca-Maria DURAZZO représentante de la LDH et Pascale BERTINI, syndicaliste FSU.
Rassemblement à Bastia : article de Corsenetinfos
Vidéo Corse net infos du rassemblement Bastia
RCFM - Journal de 8h - 3/07
RCFM - Journal de 12h - 3/07
Une de Corse-Matin du 3/07 :
Page 3 de Corse-Matin du 3/07 :
Soutiens aux rassemblements :
Motion présentée par Nanette MAUPERTUIS, présidente de l'Assemblée de Corse sur le droit à l'avortement
La section salue l'adoption à l'unanimité de la motion en faveur de l'imprescriptibilité de l'avortement déposée par la présidente de l'Assemblée de Corse
Ecouter la présidente de l'Assemblée à 1h25'50''
La présidente a appelé à se joindre aux rassemblements organisés à Ajaccio, Bastia et Porto-Vecchio ce samedi 2 à l'initiative de la section.
mardi 28 juin 2022
Pour le droit à l'avortement, un droit universel - Appel à rassemblements samedi 2 juillet à Ajaccio, Bastia, Porto-Vecchio
La décision de la Cour suprême des Etats-Unis révoquant l’arrêt qui garantissait depuis 50 ans le droit à l’avortement aux USA porte une grave et dangereuse atteinte au droit des femmes.
Abolir le droit à l’avortement, c’est mettre en danger la vie des femmes
qui veulent interrompre une grossesse, notamment des femmes les plus pauvres,
c’est mettre à mal une des conditions de l’égalité femme-homme.
Cette décision intervient alors que le droit à l’avortement est loin d’être
acquis pour toutes les femmes dans le monde, voire considéré comme un crime, et
au sein même de l’Union européenne comme en Pologne, en Slovénie, en Hongrie,
en Roumanie, à Malte. En Andorre, territoire lié à la France, l’avortement est
criminalisé même en cas de viol ou d’inceste.
Nulle démocratie n’est à l’abri de cette régression. En Irlande ou en
Espagne, ce sont les mobilisations citoyennes qui ont permis de protéger le
droit fondamental des femmes à disposer de leur corps. Comme pour tous les
droits, ce sont les citoyennes et citoyens qui en sont les premiers défenseurs.
Pour défendre le droit à l’avortement et demander son inscription dans la
loi fondamentale française, nous appelons toutes les personnes et les
organisations en défense de l’égalité des droits à se rassembler ce samedi 2
juillet à 18h à Ajaccio et à Bastia devant les préfectures, à Porto-Vecchio place
de la mairie.
Corse-Matin 30 / 06 :
dimanche 26 juin 2022
jeudi 23 juin 2022
Communiqué suite à la publication d'un fichier portant atteinte aux personnes nommées
La LDH dénonce la publication d’un fichier listant les noms des professeurs du collège de l’Ile-rousse assorti de propos irrespectueux et insultants.
Elle souligne les répercussions de la circulation de ce fichier anonyme sur les personnes ciblées portant également atteinte à la vie de l’établissement et par conséquent aux enfants et à leurs parents.
Elle apporte son soutien aux personnes visées et affectées par ces propos malveillants et offensants.
Elle attend que la justice fasse la lumière sur cette affaire et que les auteurs soient confrontés à leur geste honteux.
Ajaccio, le 23 juin 2022
Corse-Matin 25 /06 :
mercredi 15 juin 2022
Audience du 13 juin pour agression homophobe à Ajaccio
"Concernant le procès des personnes qui ont été condamnées le 13 juin dernier pour violences en réunion commises sur un couple d’homosexuels, la Ligue des droits de l’Homme (LDH), représentée à l’audience par le Bâtonnier Philippe GATTI, tient à rappeler les raisons de sa constitution de partie civile.
Ce dossier a été suivi avec beaucoup d’attention par la LDH dès le lendemain des faits, car de par ses statuts, notre association a pour but de combattre toute forme de racisme et de discrimination fondée sur le sexe ou l’orientation sexuelle. Considérant qu’il s’agissait de faire œuvre de pédagogie envers les deux jeunes hommes coupables, la LDH a demandé un euro symbolique.
La LDH a été, est, et sera toujours aux côtés des victimes du racisme et de l’homophobie. Notre société Corse doit être vigilante au renforcement de la tolérance, et ne peut pas rester indifférente aux actes homophobes dont nous constatons l’existence et le risque de banalisation."
France 3 Corse Via Stella
Corse-Matin 17-06 :
vendredi 10 juin 2022
Appel à la vigilance de l’Union Régionale des Professionnels de Santé – Médecins Libéraux de Corse et de la ligue des droits de l’Homme de Corse
La liberté d’opinion, d’expression et d’association sont des droits fondamentaux garantis par la constitution. Former des collectifs de réflexion citoyens dans cette période troublée et incertaine est en soi plutôt salutaire et participe du nécessaire débat démocratique.
Toutefois, le corps médical, l’ensemble des soignants et la LDH s’inquiètent des détournements de ces libertés.
« Réinfo Covid » fait partie de ces mouvements nés pendant l’épidémie et qui prétend éclairer la population. Actuellement son déploiement s’accentue partout en France, notamment en Corse, et se structure avec l’implantation d’antennes.
Douter, critiquer, chercher des réponses,
c’est agir en raison. Les soignants le font constamment. En médecine, il n’est
jamais de certitude absolue mais toute action se fonde sur des données
scientifiques.
Après plus de deux années de Covid, les
soignants peuvent partager des convictions établies sur des faits :
-
Les vaccins demeurent un remède des plus
efficaces pour enrayer les maladies contagieuses et protéger les populations.
-
Le port du masque et les mesures
barrières, utilisés proportionnellement au contexte et à l’environnement,
freinent la propagation de tous les virus.
- Le pass-sanitaire, utilisé lorsque l’ampleur des contaminations le justifie et répondant à l’impératif de protection du secret médical, est un outil qui a montré son efficacité contre la contagion.
Les soignants avec la LDH considèrent
comme un non-sens de prétendre que l’usage de ces mesures constitue une forme
de dictature imposée aux citoyens. Ces dispositions se fondent sur des constats
médicaux validés. Quant à la dictature, elle est un régime politique qui repose
justement sur la négation des droits et de la raison. Tous les pays ont cherché
des moyens pour lutter contre une pandémie nouvelle. Beaucoup ont eu des
stratégies différentes de celles adoptées en France, mais si on peut a
posteriori émettre des réserves sur certains choix, il nous faut constater
qu’actuellement aucun pays ne bénéficie d’une situation meilleure qu’un autre
face cette pandémie. Sauf à se tourner vers des régimes autoritaires, comme au
Brésil, qui ont privilégié la souffrance des populations et leur mise en danger.
Le respect imprescriptible de la liberté
de chacun trouve ses limites dans le risque de mise en danger du plus grand
nombre, notamment des plus vulnérables.
®
En mélangeant, sous des arguties
scientistes, des concepts vertueux d’alimentation bio, de moindre consommation
ou de respect de la nature à des fausses informations et des théories
complotistes, Réinfo covid ne contribue pas au débat ; il crée de la confusion
qui entrave la prise de décisions difficiles. Il complique le travail des
soignants, aggravant leur épuisement, à l’encontre de leur mobilisation contre
la pandémie.
®
Les soignants ne travaillent pas au
service d’un gouvernement, ils font œuvre de liberté de conscience en critiquant
les décisions si nécessaire. Ils sont au service de la population, des malades
et essayent d’apporter les meilleurs soins en fonction des connaissances
acquises, en s’adaptant à mesure de l’évolution de la maladie. Ils protègent le
droit à la santé auquel chaque citoyen doit avoir accès.
®
Les soignants et la LDH ne peuvent, en
Corse comme ailleurs, accepter que l’expression et la diffusion de fausses
informations mette en danger nos populations.
Ils en appellent à la vigilance.
Co-signataires :
-
Les Conseils de l’Ordre des Médecins de
Haute-Corse et de Corse-du-Sud
-
La Fédération de l’Hospitalisation Privée
de Corse
-
Ordre National des Infirmiers – Région
Corse
-
L’URPS Pharmaciens de Corse
-
L’URPS Sages-Femmes de Corse
-
L’URPS Masseurs-Kinésithérapeutes de
Corse
- L’URPS Chirurgiens-Dentistes de Corse
Corse-Matin 10 06 :