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"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut
"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut inscrire dans la loi la totalité de la justice." Victor BASCH au Congrès de 1929. Président de la LDH de 1926 à 1944. Il fut assassiné avec sa femme Ilona par la milice française le 10 janvier 1944.
vendredi 17 avril 2015
La section condamne avec force la violente agression dont a été victime le directeur adjoint de l'Agence Régionale de Santé.
Au nom de la LDH de Corse, la présidente de la section a adressé un message de soutien et de solidarité à Monsieur Jean Houbeaut ainsi qu'à sa famille.
jeudi 16 avril 2015
Conférence de presse de la section samedi 18 avril - Bar l'Octroi à Ajaccio
La laïcité est au cœur des débats politiques. Elle mobilise l’école et d’autres institutions. Elle a été un des fondements des mobilisations après les attentats de Paris en janvier dernier.
Pour la ligue des droits de l’Homme, la laïcité est une référence majeure, constitutive de son identité. Dans le contexte actuel, elle ne peut rester inactive.
Très prochainement, à Bastia, elle organisera un grand débat « La Corse, terre de laïcité ». Lors d’une conférence de presse, elle précisera les enjeux de ce débat ainsi que les participants et les questions qui seront abordées.
lundi 13 avril 2015
Processus d'apaisement : lettre ouverte du bureau de la section aux élus territoriaux
"Mesdames,
Messieurs les élus
de
l’Assemblée de Corse et
du Conseil Exécutif de Corse
Ces dernières décennies, les Corses ont vécu au rythme des cycles
de violence et de répression. Aujourd’hui, avec le dépôt des armes par le FLNC
et grâce au travail politique de l’Assemblée de Corse, un processus
d’apaisement durable est possible. Marqué par les hésitations et le manque
d’ambition, le débat engagé par le gouvernement demeure incertain.
Nul ne peut ignorer que ce processus s’inscrit dans une crise sociale
et économique profonde. Son échec ouvrirait la porte au renoncement
démocratique, au repli xénophobe, à d’autres violences.
Les Corses veulent le développement. Ils veulent maîtriser leur
destin en s’inscrivant autrement dans la République, sans rien perdre de leur
singularité. Ils revendiquent de nouveaux droits, une nouvelle citoyenneté.
Pour avancer, deux obstacles doivent être levés. Il faut que cesse
l’activisme antiterroriste qui continue à jeter le trouble. Nous savons les
blessures profondes qu’ont laissées quarante années de violence et de
répression. Mais il faut avoir le courage de porter au débat l’amnistie et
toutes les autres questions de nature à contribuer au processus d’apaisement en
cours et construire l’avenir.
L’avenir, c’est aussi la nécessité de garantir la singularité
corse dans la République. Rien ne sert de retarder sans cesse l’échéance
puisque les réponses réglementaires et législatives atteignent leurs limites.
Le courage politique consiste également à
ouvrir le chantier républicain d’une réforme constitutionnelle.
Considérant l’importance de votre contribution au processus en
cours, la ligue des droits de l’homme vous demande, Mesdames et Messieurs, de
renouveler votre engagement pour l’apaisement, en affirmant auprès du
gouvernement, la nécessité de lever ces obstacles.
Le bureau de la section LDH Corsica."
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Article de Corse-Matin du 15/04
Communiqué de la section sur le projet de loi relatif au renseignement
La ligue des droits de l’Homme exprime sa
plus vive inquiétude sur le projet de loi sur le renseignement. Présenté comme
une loi antiterroriste, ce projet va du terrorisme à la défense nationale en
passant par l’encadrement des mouvements de masse, ce qui peut impliquer des
associations, des partis, et ce au titre de la « prévention des violences
collectives » ou d’une atteinte aux « intérêts économiques ou
industriels essentiels de la France ». Toute mobilisation dénonçant des
pratiques industrielles néfastes tombera sous le coup de la loi. Le projet
actuellement débattu à l’Assemblée nationale constitue une menace pour les
libertés politiques.
Les citoyens corses sont particulièrement
au fait des pratiques de traçage sans limite et de fichage systématique
qu’utilise l’Etat. Celles-ci reposent sur l’idée de « tous
dangereux », « tous coupables ». Avec le projet de loi sur le
renseignement, ces pratiques liberticides seront aggravées : création de
« boîtes noires » destinées à scanner le Web indistinctement,
collecte de masse de données personnelles, durée de conservation allongée
jusqu’à cinq ans pour certaines données, opacité des moyens d’exploitation de ces
données… Et que l’on ne se méprenne pas sur la Commission nationale de
surveillance des techniques de renseignement, soi-disant garante des libertés.
Faute de pouvoirs et de moyens nécessaires, elle ne pourra pas accomplir sa
mission. Par ailleurs, le premier ministre pourra passer outre son avis. Le
gouvernement se refuse à un contrôle systématique et indépendant a priori des
demandes des services spécialisés et organise un contrôle a posteriori
illusoire. La saisine du juge administratif restera illusoire et le secret-défense
pourra être invoqué sans autre forme de procès.
La liberté et la
sûreté, qui sont les garanties
dont dispose chaque citoyen contre l’arbitraire, sont en péril. Ces droits
naturels et imprescriptibles sont reconnus par la Déclaration des droits de
l’homme et du citoyen. Débattre des pouvoirs de surveillance de l’Etat sur les
citoyens, c’est rappeler qu’en démocratie, « la liberté est la règle, la
restriction de police, l’exception ». Débattre aujourd’hui du projet de
loi sur le renseignement, c’est exiger un contrôle strict et indépendant de
l’activité des services de renseignement. La section de Corse de la LDH demande
aux parlementaires corses de porter cette exigence démocratique.
REPORTAGE FRANCE 3 CORSE à 5' 40'' dans le Corsica Sera du 14/04 avec une interview de Jean-Sébastien De Casalta, vice-président de la LDH Corsica
REPORTAGE FRANCE 3 CORSE à 5' 40'' dans le Corsica Sera du 14/04 avec une interview de Jean-Sébastien De Casalta, vice-président de la LDH Corsica
vendredi 10 avril 2015
La section s'est exprimée sur la situation carcérale de Nicolas Battini
Article de corsematin.com
Les études en prison : la ligue des droits de l’Homme prend position
Les études en prison : la ligue des droits de l’Homme prend position
Publié le La ligue des droits de l’homme est à son tour montée au créneau pour dénoncer le jugement qui était infligé à Nicolas Battini qui a choisi de reprendre ses études. Incarcéré à la prison de Bois d’Arcy, le jeune militant nationaliste a demandé à être transféré dans un autre établissement pénitentiaire plus adapté afin de pouvoir poursuivre « décemment » ses études par correspondance. Une requête refusée par le juge et les autorités pénitentiaires. Un bras de fer est actuellement engagé avec le jeune homme.
Article de Corse-Matin 11/04 :
Article de Corse-Matin 11/04 :
lundi 6 avril 2015
Processus d'apaisement : communiqué du bureau de la section
La
ligue des droits de l’Homme participe activement à la coordination « pour
une voie politique » initiée par Corsica libera. Alors que se profile un
débat sur l’amnistie à l’Assemblée de Corse, la LDH précise quels sont, pour
elle, les enjeux de la période actuelle. Ces
dernières décennies, les Corses ont vécu au rythme des cycles de violence et de
répression. Aujourd’hui, avec le dépôt des armes par le FLNC et grâce au
travail politique de l’Assemblée de Corse, un processus d’apaisement durable
est possible. Marqué par les hésitations et le manque d’ambition, le débat
engagé par le gouvernement demeure incertain.
Nul
ne peut ignorer que ce processus s’inscrit dans une crise sociale et économique
profonde. Son échec ouvrirait la porte au renoncement démocratique, au repli
xénophobe, à d’autres violences. Les
Corses veulent le développement. Ils veulent maîtriser leur destin en
s’inscrivant autrement dans la République, sans rien perdre de leur
singularité. Ils revendiquent de nouveaux droits, une nouvelle citoyenneté.
Pour
avancer, deux obstacles doivent être levés. Il faut que cesse l’activisme
antiterroriste qui continue à jeter le trouble. Nous savons les blessures
profondes qu’ont laissées quarante années de violence et de répression. Mais il
faut avoir le courage de porter au débat l’amnistie et toutes les autres
questions de nature à contribuer au processus d’apaisement en cours et
construire l’avenir. L’avenir,
c’est aussi la nécessité de garantir la singularité corse dans la République.
Rien ne sert de retarder sans cesse l’échéance puisque les réponses
réglementaires et législatives atteignent leurs limites. Le courage politique
consiste également à ouvrir le chantier républicain d’une réforme
constitutionnelle.
Le bureau de la section de Corse de la LDH : Jean Claude Acquaviva, Maryline
Antoni, Jean-Pierre Arrighi, Antonin Bretel, Frédérique Campana, Jean Sébastien De Casalta, Claudette Dézert,
Gérard Mortreuil, André Paccou, Christine Paccou-Mattei, Elsa Renaut, Dominique Renucci, Sampiero Sanguinetti, Marie Louise Serra, Michèle
Zevaco.
LIEN : CORSENETINFOS
LIEN : CORSENETINFOS
vendredi 3 avril 2015
Assises départementales de la mobilisation de l'Ecole et de ses partenaires pour les valeurs de la République, jeudi 2 à Ajaccio
Répondant à l'invitation du Préfet de Corse et du Recteur de l'Académie de Corse, la section était présente à cette journée de réflexion. Elle a participé à l'atelier "Comment mobiliser les acteurs associatifs, le monde économique et la société civile pour soutenir l'action de l'école dans la lutte contre les déterminismes sociaux et territoriaux ?".
lundi 23 mars 2015
La section présente à l'hommage rendu à Jean Leccia ce lundi matin
A l'appel de sa famille, un rassemblement a lieu à 11h au Conseil Général de Haute-Corse.
La section apporte son soutien à la famille de Jean Leccia qui en toute dignité exprime une demande de justice.
La LDH s'associe à cette juste demande rappelant que l'insupportable liste d'assassinats non résolus pèse sur la société corse et que l'impunité contribue à nourrir les violences.
La section apporte son soutien à la famille de Jean Leccia qui en toute dignité exprime une demande de justice.
La LDH s'associe à cette juste demande rappelant que l'insupportable liste d'assassinats non résolus pèse sur la société corse et que l'impunité contribue à nourrir les violences.
jeudi 19 mars 2015
dimanche 15 mars 2015
Conférence de presse LDH Corsica - Ghjuventù tocca à noi : "L'antiterrorisme tourne le dos à l'apaisement"en présence d'Alta Frequenza, de Corsenetinfos, de France 3 Corse, de Rcfm
Reportage France 3 Corse Via Stella
Article Corsenetinfos
Article Alta Frequenza :
Alta Frequenza Interview Elsa Renaut - LDH Corsica
Alta Frequenza Interview Antony Ragas-Colonna - Ghjuventù Tocca à noi
Article Corsenetinfos
Article Alta Frequenza :
(Michaël Andreani - Alta Frequenza) - « L’antiterrorisme tourne le dos à l’apaisement ! » La Ligue des Droits de l’Homme et Ghjuventù Tocca à Noi ont délivré ce message on ne peut plus clair à l’occasion d’une conférence de presse commune samedi à Ajaccio. Les deux associations avaient décidé de s’exprimer ensemble sur les interpellations de militants nationalistes intervenues ces derniers mois ou encore sur les « dangers de l’antiterrorisme ». Selon elles, il ne s’agit pas d’une justice « normale », « sereine », elle est même aux yeux des associations un « anachronisme » au regard du processus de paix engagé en Corse depuis l’an passé et l’annonce par le FLNC de l’abandon de la lutte armée. Toujours dans la quête du renforcement du processus d’apaisement entre l’île et l’Etat, la question du rapprochement des prisonniers politiques et celle de l’amnistie restent primordiales. Si aujourd’hui cette dernière demande en particulier fait quasiment l’unanimité au sein de la représentation politique insulaire, il appartient désormais au gouvernement de préciser sa position pour entrevoir une lueur d’espoir et un avenir meilleur.
Alta Frequenza Interview Elsa Renaut - LDH Corsica
Alta Frequenza Interview Antony Ragas-Colonna - Ghjuventù Tocca à noi
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