La section rappelle que la Corse a été récemment particulièrement concernée par des violences policières qu'elle a dénoncées. En février, Maxime Beux, jeune supporter bastiais, a été victime d'un tir de flash-ball et a perdu la vision d'un oeil. La LDH avait adressé une lettre au Préfet de la Marne. Ce même mois, Jean-Louis Emmanuelli, entrepreneur balanin, a été visé par des coups de feu lors d'une interpellation qui ne le concernait pas. Accusé d'avoir tenté de renverser un gendarme, il a d'abord été condamné à 3 ans de prison ferme puis remis en liberté en attendant le procès en appel. La LDH, lors d'un rassemblement à Ile Rousse, avait particulièrement insisté sur sa remise en liberté.
Lire le communiqué de la LDH rappelant que « Toute personne appréhendée est placée sous la protection des policiers ou des gendarmes et préservée de toute forme de violence ou de tout traitement inhumain ou dégradant »