22 preso korsikar daude Frantziako eta Korsikako hamar espetxetan sakabanatuta. Hurbilketa eskatzen du gizartearen gehiengoak; amnistia ere anitzek, baina desadostasunekin.
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- RETOURS SUR L'HISTOIRE DE LA LDH suite aux accusations du gouvernement
"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut
"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut inscrire dans la loi la totalité de la justice." Victor BASCH au Congrès de 1929. Président de la LDH de 1926 à 1944. Il fut assassiné avec sa femme Ilona par la milice française le 10 janvier 1944.
mercredi 24 février 2016
lundi 22 février 2016
Les positions de la CNCDH sur l'état d'urgence, essentielles pour comprendre les enjeux
Lire les communiqués publiés par la Commission Nationale Consultative des Droits de l'Homme :
Communiqué de presse : Les dérives de l'état d'urgence ou le recul injustifiable de l'Etat de droit
Communiqué de presse : De l'absolue nécessité de rejeter le projet de loi constitutionnelle de protection de la Nation, atteinte intolérable aux libertés et droits fondamentaux
Lire les avis de la CNCDH :
Avis sur le projet de loi constitutionnelle de protection de la Nation
Avis sur le suivi de l'état d'urgence
Communiqué de presse : Les dérives de l'état d'urgence ou le recul injustifiable de l'Etat de droit
Communiqué de presse : De l'absolue nécessité de rejeter le projet de loi constitutionnelle de protection de la Nation, atteinte intolérable aux libertés et droits fondamentaux
Lire les avis de la CNCDH :
Avis sur le projet de loi constitutionnelle de protection de la Nation
Avis sur le suivi de l'état d'urgence
dimanche 21 février 2016
Soutien aux habitants et aux élus de Tavera
Après l'incendie criminel qui a visé la mairie de Tavera et rendu inutilisable l'école attenante, le conseil municipal de la commune a appelé à une manifestation de soutien ce dimanche 21 à 11h dans le village. Une délégation de la LDH a participé à cette mobilisation aux côtés de la population et de nombreux élus. Elle a également exprimé son soutien au maire victime d'une campagne de dénigrement par voie de tags.
samedi 20 février 2016
Etat d'urgence
Communiqué LDH - Paris, le 19 février 2016
Comme on pouvait s’y attendre, le Conseil constitutionnel a validé, pour l’essentiel, le régime d’exception qu’impose l’état d’urgence en matière de manifestations et de fermetures de lieux de réunion. Il a aussi considéré que les perquisitions ordonnées par l’autorité administrative n’affectent pas « la liberté individuelle au sens de l’article 66 de la Constitution » et considère qu’un simple recours indemnitaire contre l’Etat, sans annulation de la mesure elle-même, constitue une voie de recours. Certes, le Conseil constitutionnel a émis un avis négatif sur les saisies en matière informatique pratiquées à l’occasion des perquisitions administratives. On doit s’en féliciter et inciter, en conséquence, les personnes qui en ont été victimes à entamer les recours nécessaires. Cependant ces décisions du Conseil, comme les précédentes, entérinent la mise à l’écart du juge judiciaire et rendent inutile toute constitutionnalisation de l’état d’urgence tant elles cautionnent déjà l’arbitraire et l’impunité de l’Etat. La LDH ne cessera pas, pour autant, son action de telle manière à ce que la France respecte ses engagements internationaux et que l’Etat de droit retrouve pleinement sa place.
Comme on pouvait s’y attendre, le Conseil constitutionnel a validé, pour l’essentiel, le régime d’exception qu’impose l’état d’urgence en matière de manifestations et de fermetures de lieux de réunion. Il a aussi considéré que les perquisitions ordonnées par l’autorité administrative n’affectent pas « la liberté individuelle au sens de l’article 66 de la Constitution » et considère qu’un simple recours indemnitaire contre l’Etat, sans annulation de la mesure elle-même, constitue une voie de recours. Certes, le Conseil constitutionnel a émis un avis négatif sur les saisies en matière informatique pratiquées à l’occasion des perquisitions administratives. On doit s’en féliciter et inciter, en conséquence, les personnes qui en ont été victimes à entamer les recours nécessaires. Cependant ces décisions du Conseil, comme les précédentes, entérinent la mise à l’écart du juge judiciaire et rendent inutile toute constitutionnalisation de l’état d’urgence tant elles cautionnent déjà l’arbitraire et l’impunité de l’Etat. La LDH ne cessera pas, pour autant, son action de telle manière à ce que la France respecte ses engagements internationaux et que l’Etat de droit retrouve pleinement sa place.
Article Le Monde.fr | 2016/02/19 :
Etat d’urgence : le Conseil constitutionnel censure les saisies informatiques lors des perquisitions
Les conseillers ont estimé que le législateur « n’a pas prévu de garanties légales » suffisantes propres à assurer un équilibre entre « droit au respect de la vie privée » et « sauvegarde de l’ordre public ».
Article LIBERATION :
Christine Lazerges : «L’état
d’urgence : un désastre pour la cohésion sociale»
La présidente de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), Christine Lazerges, met en garde contre la prolongation des restrictions des libertés et la déchéance de nationalité.
La présidente de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), Christine Lazerges, met en garde contre la prolongation des restrictions des libertés et la déchéance de nationalité.
Constitutionnalisation
de l’état d’urgence et extension de la déchéance de nationalité : tel est le
menu des députés, qui reprennent ce lundi les discussions sur le projet de
réforme constitutionnelle, avant un vote solennel mercredi. Sur ces deux
sujets, Christine Lazerges, présidente de la Commission nationale consultative
des droits de l’homme (CNCDH), dresse un réquisitoire sévère.
La France vit depuis trois mois en état d’urgence, une
disposition que le gouvernement souhaite prolonger. Quel bilan tire la
CNCDH ?
jeudi 18 février 2016
mercredi 17 février 2016
"La LDH inquiète" - Communiqué
"Le climat social délétère qui s’installe
depuis plusieurs semaines inquiète la ligue des droits de l’homme. Certains y voient la conséquence
de l’arrivée des nationalistes à la tête de l’institution territoriale qui,
selon eux libéreraient les mauvaises passions de notre société. D’autres
considèrent qu’avec cette nouvelle donne politique, l’heure est venue de
renverser la table. A cela se mêlent des évènements insupportables telles les
manifestations racistes de fin d’année, un jeune supporter blessé à Reims, une
mairie incendiée…. La LDH veut rappeler son attachement à la construction d’un
processus d’apaisement. Elle est consciente des obstacles qui se dressent,
notamment l’absence d’un véritable dialogue du côté gouvernemental. Elle entend
les propos anti-corses qui se banalisent. Mais les défoulements haineux et les
violences qui
agitent notre société sont aussi un obstacle. Ils relèvent de la responsabilité
de chacun d’entre nous. Ils sont une impasse pour notre communauté de destin
qui peut y perdre le sens de l’avenir. Le refus du racisme et de la xénophobie,
le respect des droits des prisonniers politiques, l’exigence de justice et de
vérité pour le jeune homme blessé à Reims, la nécessité de mobiliser toujours
plus largement la société corse pour que s’ouvre un véritable dialogue, telles
sont pour la LDH, les priorités du moment qu’il nous faut porter dans le cadre
d’un rapport de force démocratique patiemment construit, à l’opposé des
logiques d’affrontement."
Corsematin.com
Corsenetinfos
Corse-Matin 18/02 :
Corsematin.com
Corsenetinfos
Corse-Matin 18/02 :
mardi 16 février 2016
dimanche 14 février 2016
Communiqué de la section : violences à Reims
"La LDH s'inquiète suite aux événements violents qui se sont produits à Reims dans la soirée de samedi. Un jeune supporter bastiais a été grièvement blessé, plusieurs personnes ont été interpellées, dont un mineur. La LDH demande que la justice établisse au plus vite les faits et les responsabilités. Elle souhaite un apaisement immédiat de la situation pour éviter une mécanique de violence et de répression."
Corsenetinfos
Communiqué cité sur RCFM
Communiqué cité par France 3 Corse :
Corsenetinfos
Communiqué cité sur RCFM
Communiqué cité par France 3 Corse :
vendredi 12 février 2016
Settimana 12-18 février - Interview de Maître Patrice Spinosi, avocat de la LDH
Le 19 janvier dernier, la LDH a saisi le Conseil d'état pour demander la suspension de l'état d'urgence. La demande était formulée par Maître Patrice Spinosi.
Lire son interview dans Settimana : l'avocat revient sur le danger pour les droits et libertés de
chacun que représente la constitutionnalisation de l'état d'urgence. (extrait)
Lire son interview dans Settimana : l'avocat revient sur le danger pour les droits et libertés de
chacun que représente la constitutionnalisation de l'état d'urgence. (extrait)

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