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"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut
"La Ligue ne se borne pas à prendre en charge la portion de justice inscrite dans la loi ; elle veut inscrire dans la loi la totalité de la justice." Victor BASCH au Congrès de 1929. Président de la LDH de 1926 à 1944. Il fut assassiné avec sa femme Ilona par la milice française le 10 janvier 1944.
mercredi 29 avril 2015
La LDH à la tribune de la réunion publique à Bastia avec l'Associu Sulidarità et l'Università di Corsica pour demander à Nicolas Battini d'arrêter sa grève de la faim et pour que soit porté collectivement son droit à étudier en prison
REPORTAGE FRANCE 3 CORSE VIA STELLA 30/04
Article d'ALTA FREQUENZA 29/04
(Julien Pernici - Alta Frequenza) - Plusieurs centaines de personnes se sont réunies ce mercredi au théâtre de Bastia afin de soutenir Nicolas Battini. Après quarante-cinq jours de mitard, qu'il s'est volontairement infligé pour pouvoir mieux etudier, Nicolas Battini va entamer son quatorzième jour de grève de la faim ce jeudi. Une situation qui inquiète fortement ses proches, le jeune homme de 21 ans ayant déjà perdu douze kilos depuis le début de son action. Ainsi, ses avocats, l'Associu Sulidarita, la Ligue des Droits de l'Homme, l'université de Corse et une myriade d'associations et d'acteurs culturels demandent à Nicolas Battini d'arrêter sa grève de la faim, les signataires de cet appel promettant de poursuivre son action par d'autres moyens. Le but est d'obtenir son transfèrement de la prison du Bois d'Arcy vers une autre prison plus adaptée à la poursuite d'études supérieures.
CORSICAINFURMAZIONE 29/04
CORSENETINFOS 30/04
Article Corse-Matin 2/05
mardi 28 avril 2015
L’Associu Sulidarità, associée à
l’Università di Corsica et à la Ligue des droits de l’homme, organisent
mercredi 29 avril à 18h 30 au Théâtre de Bastia (Salle des congrès), une
conférence sur la situation de Nicolas Battini, prisonnier politique corse, qui
s’intitulera : « Studià hè Libertà ».
Dans un
communiqué Sulidarità et la LDH rappellent que "cette devise de
l’Università di Corsica, apposée sur le Palazzu Naziunale, s’applique
parfaitement à la situation de Nicolas Battini, étudiant en double cursus
à l’Università di Corsica, actuellement incarcéré à la Maison d’Arrêt
de Bois d’Arcy.
Nicolas a sollicité son transfert pour avoir la possibilité de poursuivre ses études dans des conditions correctes.
L’obstination du Juge depuis plusieurs mois à refuser ce transfert, pourtant légitime, l’a conduit à s’infliger 45 jours d’isolement total au « mitard ».
Il a entamé le 17 avril une grève de la faim qui se poursuit toujours.Les démarches engagées par le Président de l’Université et ses avocats sont restées lettre morte.
Privé de liberté, il est aussi privé du droit fondamental d’étudier, et aujourd’hui sa santé est en danger.
Nous appelons les militants syndicaux, associatifs et culturels, et tous ceux qui sont attachées aux libertés fondamentales à manifester leur soutien en participant massivement à cette conférence."
Nicolas a sollicité son transfert pour avoir la possibilité de poursuivre ses études dans des conditions correctes.
L’obstination du Juge depuis plusieurs mois à refuser ce transfert, pourtant légitime, l’a conduit à s’infliger 45 jours d’isolement total au « mitard ».
Il a entamé le 17 avril une grève de la faim qui se poursuit toujours.Les démarches engagées par le Président de l’Université et ses avocats sont restées lettre morte.
Privé de liberté, il est aussi privé du droit fondamental d’étudier, et aujourd’hui sa santé est en danger.
Nous appelons les militants syndicaux, associatifs et culturels, et tous ceux qui sont attachées aux libertés fondamentales à manifester leur soutien en participant massivement à cette conférence."
samedi 25 avril 2015
Soutien aux militants de la Ghjuventu Indipendentista en grève de la faim
Une délégation du bureau de la section a rencontré les militants de la Ghjuventu indipendentista en grève de la faim pour exprimer son soutien et échanger au sujet de leurs revendications.
Extrait de Corse-Matin 26/04
mardi 21 avril 2015
Réunion publique "La Corse, terre de laïcité" au théâtre de Bastia le 2 mai
Alta Frequenza 22/04 -"La Corse, terre de laïcité : un débat organisé par la LDH le 2 mai à Bastia"

(Michaël Andreani - Alta Frequenza) - « La Corse, terre de laïcité » ! Ce sera l’intitulé du débat organisé par la Ligue des Droits de l’Homme le samedi 2 mai à 14h30 au théâtre de Bastia. Un débat dans la suite logique des attentats de Paris du mois de janvier dernier et des manifestations qui s’en sont suivies, notamment en Corse où les représentants des différents cultes dans l’île avaient défilé avec plusieurs milliers de corses dans la rue. Pour cette réunion publique, la LDH a donc invité à la tribune par exemple l’évêque de Corse, le président du rassemblement des musulmans dans l’île, le représentant de la communauté israélite de Bastia ou encore la pasteure de l’église protestante unie de Corse. Autre invité, symbolique en raison de sa fonction, le recteur de l’académie de Corse, en tant que représentant de l’école de la République et laïque. La laïcité sera ainsi abordée comme fondement, mais aussi comme valeur et réalité quotidienne dans la société corse qui, en dépit des apparences, est agitée par cette question comme l’est la société française.
Article de Corse-Matin du 22/04
Article de Corse-Matin du 21/04
La réunion aura lieu le samedi 2 mai après-midi
(et non le 5)
dimanche 19 avril 2015
Réunion publique "La Corse, terre de laïcité" le 2 mai à Bastia, présentée en conférence de presse
La question de la laïcité continue à agiter la société
française et contrairement à ce qui peut paraître, la société corse.
Au travers d’un débat sur la place et le statut des religions,
c’est la définition des rapports entre l’Etat et les cultes, et plus
généralement la relation entre le politique et la religion qui fait polémique.
La question de la laïcité, c’est aussi une
interrogation sur les rapports entre la sphère privée et la sphère publique que
certains voudraient étendre à l’infini, en réduisant de manière drastique les
espaces où s’exercent les libertés individuelles.
D’autres font porter à la laïcité tout un ensemble
d’interrogations qui la dépassent, avec l’ambition d’en faire une arme contre des
communautarismes plus ou moins imaginés au niveau local, et le fantasme d’une
guerre de civilisation au niveau mondial.
Dans cette agitation, reflet de sociétés inquiètes
devant les mutations qui les travaillent, le mot « laïcité » perd de
son sens.
Essayer de redonner du sens
au mot « laïcité », c’est d’abord en débattre.
Dans le prolongement des rassemblements « Pour la
liberté, pour la fraternité », qu’elle a co-organisés le 11 janvier
dernier avec les représentants des cultes,
à Ajaccio et à Bastia, La ligue des droits de l’homme propose une
Réunion publique
«
La Corse, terre de laïcité »
samedi 2 mai 2015, à 14h30
au théâtre de Bastia
Pour cet échange, la LDH a invité à la tribune :
-
Michel Barat, recteur de l’académie de Corse
- Daniel
Bueno, officiant
de la communauté israélite de Bastia
-
Olivier de Germay, évêque de l’église catholique de Corse
-
Miloud Mesghati, président du rassemblement des musulmans de Corse
-
Gaston Pietri, prêtre, représentant de l’association Corte 96
-
Marie Odile Wilson Miquel, pasteure de l’église
protestante unie de Corse
Pour la LDH, interviendront Jean-Sébastien de Casalta,
vice-président de la section de Corse et André Paccou, élu national.
Le débat s’organisera autour de 3 questions :
-Depuis une trentaine d'années, la laïcité ne cesse de
s'imposer comme un sujet central, au niveau national, sur la scène
politique.
Comment expliquez-vous cette évolution?
-La Corse semble à l'écart de ce débat sur la laïcité.
Comment interprétez-vous cette situation ?
Pourquoi est-il nécessaire d'en débattre ici comme
ailleurs ?
-Quelle peut-être, selon vous, la contribution de la
laïcité pour nos sociétés confrontées à de profondes mutations ?
Ce débat est ouvert à tous.
CORSICAINFURMAZIONE
INTERVIEW RCFM
INTERVIEW RCFM
Journée internationale des prisonniers politiques - Des militants de la section ont assisté à la conférence de presse de l'Associu Sulidarità, ce dimanche à Ajaccio
Dans le cadre de notre engagement pour le rapprochement des prisonniers politiques et dans le prolongement de notre mobilisation suite aux actions antiterroristes, la section a répondu à l'invitation de l'Associu Sulidarità. La LDH a redit sa position concernant l'amnistie dans le processus d'apaisement en cours : elle considère que cette question légitime doit être portée au débat par l'Assemblée de Corse.
Voir Corsica infurmazione
Voir Corsica infurmazione
vendredi 17 avril 2015
La section condamne avec force la violente agression dont a été victime le directeur adjoint de l'Agence Régionale de Santé.
Au nom de la LDH de Corse, la présidente de la section a adressé un message de soutien et de solidarité à Monsieur Jean Houbeaut ainsi qu'à sa famille.
jeudi 16 avril 2015
Conférence de presse de la section samedi 18 avril - Bar l'Octroi à Ajaccio
La laïcité est au cœur des débats politiques. Elle mobilise l’école et d’autres institutions. Elle a été un des fondements des mobilisations après les attentats de Paris en janvier dernier.
Pour la ligue des droits de l’Homme, la laïcité est une référence majeure, constitutive de son identité. Dans le contexte actuel, elle ne peut rester inactive.
Très prochainement, à Bastia, elle organisera un grand débat « La Corse, terre de laïcité ». Lors d’une conférence de presse, elle précisera les enjeux de ce débat ainsi que les participants et les questions qui seront abordées.
lundi 13 avril 2015
Processus d'apaisement : lettre ouverte du bureau de la section aux élus territoriaux
"Mesdames,
Messieurs les élus
de
l’Assemblée de Corse et
du Conseil Exécutif de Corse
Ces dernières décennies, les Corses ont vécu au rythme des cycles
de violence et de répression. Aujourd’hui, avec le dépôt des armes par le FLNC
et grâce au travail politique de l’Assemblée de Corse, un processus
d’apaisement durable est possible. Marqué par les hésitations et le manque
d’ambition, le débat engagé par le gouvernement demeure incertain.
Nul ne peut ignorer que ce processus s’inscrit dans une crise sociale
et économique profonde. Son échec ouvrirait la porte au renoncement
démocratique, au repli xénophobe, à d’autres violences.
Les Corses veulent le développement. Ils veulent maîtriser leur
destin en s’inscrivant autrement dans la République, sans rien perdre de leur
singularité. Ils revendiquent de nouveaux droits, une nouvelle citoyenneté.
Pour avancer, deux obstacles doivent être levés. Il faut que cesse
l’activisme antiterroriste qui continue à jeter le trouble. Nous savons les
blessures profondes qu’ont laissées quarante années de violence et de
répression. Mais il faut avoir le courage de porter au débat l’amnistie et
toutes les autres questions de nature à contribuer au processus d’apaisement en
cours et construire l’avenir.
L’avenir, c’est aussi la nécessité de garantir la singularité
corse dans la République. Rien ne sert de retarder sans cesse l’échéance
puisque les réponses réglementaires et législatives atteignent leurs limites.
Le courage politique consiste également à
ouvrir le chantier républicain d’une réforme constitutionnelle.
Considérant l’importance de votre contribution au processus en
cours, la ligue des droits de l’homme vous demande, Mesdames et Messieurs, de
renouveler votre engagement pour l’apaisement, en affirmant auprès du
gouvernement, la nécessité de lever ces obstacles.
Le bureau de la section LDH Corsica."
Lire sur CORSENETINFOS
Article de Corse-Matin du 15/04
Communiqué de la section sur le projet de loi relatif au renseignement
La ligue des droits de l’Homme exprime sa
plus vive inquiétude sur le projet de loi sur le renseignement. Présenté comme
une loi antiterroriste, ce projet va du terrorisme à la défense nationale en
passant par l’encadrement des mouvements de masse, ce qui peut impliquer des
associations, des partis, et ce au titre de la « prévention des violences
collectives » ou d’une atteinte aux « intérêts économiques ou
industriels essentiels de la France ». Toute mobilisation dénonçant des
pratiques industrielles néfastes tombera sous le coup de la loi. Le projet
actuellement débattu à l’Assemblée nationale constitue une menace pour les
libertés politiques.
Les citoyens corses sont particulièrement
au fait des pratiques de traçage sans limite et de fichage systématique
qu’utilise l’Etat. Celles-ci reposent sur l’idée de « tous
dangereux », « tous coupables ». Avec le projet de loi sur le
renseignement, ces pratiques liberticides seront aggravées : création de
« boîtes noires » destinées à scanner le Web indistinctement,
collecte de masse de données personnelles, durée de conservation allongée
jusqu’à cinq ans pour certaines données, opacité des moyens d’exploitation de ces
données… Et que l’on ne se méprenne pas sur la Commission nationale de
surveillance des techniques de renseignement, soi-disant garante des libertés.
Faute de pouvoirs et de moyens nécessaires, elle ne pourra pas accomplir sa
mission. Par ailleurs, le premier ministre pourra passer outre son avis. Le
gouvernement se refuse à un contrôle systématique et indépendant a priori des
demandes des services spécialisés et organise un contrôle a posteriori
illusoire. La saisine du juge administratif restera illusoire et le secret-défense
pourra être invoqué sans autre forme de procès.
La liberté et la
sûreté, qui sont les garanties
dont dispose chaque citoyen contre l’arbitraire, sont en péril. Ces droits
naturels et imprescriptibles sont reconnus par la Déclaration des droits de
l’homme et du citoyen. Débattre des pouvoirs de surveillance de l’Etat sur les
citoyens, c’est rappeler qu’en démocratie, « la liberté est la règle, la
restriction de police, l’exception ». Débattre aujourd’hui du projet de
loi sur le renseignement, c’est exiger un contrôle strict et indépendant de
l’activité des services de renseignement. La section de Corse de la LDH demande
aux parlementaires corses de porter cette exigence démocratique.
REPORTAGE FRANCE 3 CORSE à 5' 40'' dans le Corsica Sera du 14/04 avec une interview de Jean-Sébastien De Casalta, vice-président de la LDH Corsica
REPORTAGE FRANCE 3 CORSE à 5' 40'' dans le Corsica Sera du 14/04 avec une interview de Jean-Sébastien De Casalta, vice-président de la LDH Corsica
vendredi 10 avril 2015
La section s'est exprimée sur la situation carcérale de Nicolas Battini
Article de corsematin.com
Les études en prison : la ligue des droits de l’Homme prend position
Les études en prison : la ligue des droits de l’Homme prend position
Publié le La ligue des droits de l’homme est à son tour montée au créneau pour dénoncer le jugement qui était infligé à Nicolas Battini qui a choisi de reprendre ses études. Incarcéré à la prison de Bois d’Arcy, le jeune militant nationaliste a demandé à être transféré dans un autre établissement pénitentiaire plus adapté afin de pouvoir poursuivre « décemment » ses études par correspondance. Une requête refusée par le juge et les autorités pénitentiaires. Un bras de fer est actuellement engagé avec le jeune homme.
Article de Corse-Matin 11/04 :
Article de Corse-Matin 11/04 :
lundi 6 avril 2015
Processus d'apaisement : communiqué du bureau de la section
La
ligue des droits de l’Homme participe activement à la coordination « pour
une voie politique » initiée par Corsica libera. Alors que se profile un
débat sur l’amnistie à l’Assemblée de Corse, la LDH précise quels sont, pour
elle, les enjeux de la période actuelle. Ces
dernières décennies, les Corses ont vécu au rythme des cycles de violence et de
répression. Aujourd’hui, avec le dépôt des armes par le FLNC et grâce au
travail politique de l’Assemblée de Corse, un processus d’apaisement durable
est possible. Marqué par les hésitations et le manque d’ambition, le débat
engagé par le gouvernement demeure incertain.
Nul
ne peut ignorer que ce processus s’inscrit dans une crise sociale et économique
profonde. Son échec ouvrirait la porte au renoncement démocratique, au repli
xénophobe, à d’autres violences. Les
Corses veulent le développement. Ils veulent maîtriser leur destin en
s’inscrivant autrement dans la République, sans rien perdre de leur
singularité. Ils revendiquent de nouveaux droits, une nouvelle citoyenneté.
Pour
avancer, deux obstacles doivent être levés. Il faut que cesse l’activisme
antiterroriste qui continue à jeter le trouble. Nous savons les blessures
profondes qu’ont laissées quarante années de violence et de répression. Mais il
faut avoir le courage de porter au débat l’amnistie et toutes les autres
questions de nature à contribuer au processus d’apaisement en cours et
construire l’avenir. L’avenir,
c’est aussi la nécessité de garantir la singularité corse dans la République.
Rien ne sert de retarder sans cesse l’échéance puisque les réponses
réglementaires et législatives atteignent leurs limites. Le courage politique
consiste également à ouvrir le chantier républicain d’une réforme
constitutionnelle.
Le bureau de la section de Corse de la LDH : Jean Claude Acquaviva, Maryline
Antoni, Jean-Pierre Arrighi, Antonin Bretel, Frédérique Campana, Jean Sébastien De Casalta, Claudette Dézert,
Gérard Mortreuil, André Paccou, Christine Paccou-Mattei, Elsa Renaut, Dominique Renucci, Sampiero Sanguinetti, Marie Louise Serra, Michèle
Zevaco.
LIEN : CORSENETINFOS
LIEN : CORSENETINFOS
vendredi 3 avril 2015
Assises départementales de la mobilisation de l'Ecole et de ses partenaires pour les valeurs de la République, jeudi 2 à Ajaccio
Répondant à l'invitation du Préfet de Corse et du Recteur de l'Académie de Corse, la section était présente à cette journée de réflexion. Elle a participé à l'atelier "Comment mobiliser les acteurs associatifs, le monde économique et la société civile pour soutenir l'action de l'école dans la lutte contre les déterminismes sociaux et territoriaux ?".
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